• Le passé de Mikuru.

     

    J’avais 6 ans, je jouais avec ma sœur dans ma chambre. On jouait avec les poupons et les peluches au thé, je m’amusais toujours beaucoup avec ma sœur ! Nous n’avions qu’un an de différence.

    Sœur : Alors Mikuru , tu as un amoureux ?

    Mikuru : Berk ! Non ! C’est dégoutant les garçons !

    Sœur : Mais non ! Tu veux des enfants plus tard et te marier non ?

    Mikuru : Mais c’ets méchant les garçons ! J’en veux pas ! Ni d’une fille d’ailleurs…

    Sœur : *ris* Tu es incorrigible Mikuru !

    Mère : Les filles, nous allons aux courses !

    Les filles : Haaaaiiii !

    On partait avec ma mère aux courses pendant que notre père travaillait dans la cave. Arrivé au magasin, ma grande sœur et moi courrions un peu partout voir les jouets et les bonbons.

     Sœur : Mikuru-chan ! Regarde il y a des jeux pour les enfants !

     Mikuru : Ouiii ! Aller on y va !

     

    Chapitre 10.

     

     

    On courrait vers un jeu avec toboggan placé dans un coin du magasin pour les enfants. On jouait à maman et fille en faisant du toboggan avec les autres enfants. On rigolait mais derrière nous on entendait une petite fille tousser, on se retournait pour voir ce qu’il se passe ; elle était toute rouge et elle vomissait. Sa maman était juste à côté, elles étaient partaient bien vite, notre mère elle non plus n’était pas loin et avait tout vu. Sur le chemain du retour on parlait de ce qu’il venait de ce passé.

    Mikuru : Maman, qu’est-ce qu’elle a la petite fille ?

    Mère : Elle a sûrement mal digérée quelque chose ne vous inquiétés pas !

    Sœur : On ne risque rien, hein maman ?

    Mère : Mais non, vous ne risquez rien ! Promis !

    On était arrivé à la maison mais on devait repartir à cause de l’école. En classe il y avait une dizaine d’absents, la maîtresse avait l’air inquiète quand elle nous regardait ! La récréation était presque vide et certains des élèves tombaient malade devant nous. On rentrant on racontait tout à ma mère puis nous allions jouer.

    Mikuru : Onee-san …  On va voir la télé ?

     Sœur : HAI !

     Mikuru : YAY !

    Avec ma sœur on était devant la télé, on regardait les dessins-animés mais mon père passait par là. On râlait parce qu’il avait changé de chaîne pour mettre les informations. Les journalistes parlaient d’un virus dangereux qui circulait en ville et qui ferait des centaines de personne gravement malades. Nous les enfants, n’avions plus le droit de sortir au contraire des parents plus résistants.

    Sœur : Mikuru ! C’est dangereux, compris ?

    Mikuru : Hai ! Je ne sortirai pas !

     

    Chapitre 10.

     

    Père : C’est bien les filles ! Faites bien attention et vous n’aurez rien !

    Mikuru et sa sœur : Hai !

    Le lendemain…Le téléphone sonnait, notre mère restait…une demi-heure avec le téléphone à l’oreille. Elle enfilait son manteau suivis de notre père, ils s’approchèrent de nous inquiets.

    Père : Vous rester à la maison !

    Mère : Votre grand-mère s’est évanouie et nous allons la voir à l’hôpital, mais vous, vous restez à l’intérieur, d’accord ?

    Filles : Oui maman, oui papa !

    Mes parents étaient déjà partis, nous étions toutes les deux sur le canapé, ma sœur regardait le plafond. Elle s’était levé et marchais en direction du porte manteau, elle enfilait son écharpe, sa veste et ses chaussures avant d’ouvrir la porte. Je me levais par la rattraper mais elle était déjà dehors.

    Mikuru : Onee-san ! On a pas le droit de sortir !

     

    Chapitre 10.

     

    Sœur : Tant pis ! Je veux voir grand-mère !

    Je sortais et lui courrait après mais…Je l’avais perdue de vu…et que je l’avais retrouvé, elle était à terre.

    Mikuru : ONEE-SAN ?!

    Je la tirais jusqu’à la maison avec peine.  Je l’avais installé dans son lit et je restais à côté d’elle…Mes parents ne pouvait pas rentrer …Le médecin s’était déplacé à la demande d’une petite fille paniquée (moi).

    Médecin : Elle a été touchée par le virus…

    Mikuru : Onee…-san… *fond en larme*

    Médecin : Le seul moyen de la guérir est d’attendre et de lui donner ses médicaments. Ou de prendre le virus à sa place mais…c’est une mauvaise idée ! Je dois y aller, prend bien soins d’elle, d’accord ? J’ai appelé tes parents !

    J’étais à côté d’elle….j’avais tellement peur pour ma sœur…

    Mikuru : Onee-san…Tiens bon…

     

     

    Chapitre 10.

    1 Semaine s’était écoulé.  Mes parents étaient revenus et s’occupais beaucoup de ma sœur… J’était dans le salon, le téléphone sonnais , j’ai décroché.

    Mikuru : Moshi Moshi ?

    Voix : Oui excusez-moi ! Est-ce que votre mère est là ?

    Mikuru : Elle est occupée à soigner ma sœur !

    Voix : Bien …Le médecin est…décédé malheureusement..

    Mikuru : Le docteur ?! Mais il devait aider ma sœur ! 

    Voix : Je suis désolée… *raccroche*

    Je me rendais dans la chambre, ma mère me regardait d’un air interrogatif à la vue de mon visage.

    Mikuru : Le docteur est mort…

    Mère : Je vois… Ne t’en fais pas ma chérie, d’accord ? *souris*

    On restait près de ma sœur jours et nuits… Ma mère devait sortir chercher les médicaments de ma sœur, alors je restais seule avec elle…Je me rappelais de ce qu’avait dit le  médecin. « Le seul moyen de la guérir est d’attendre et de lui donner ses médicaments. Ou de prendre le virus à sa place mais… » Je ne devais pas le faire mais….c’était ma sœur et je ne voulais pas la perdre ! Alors je m’étais mise à côté d’elle …Je cola bah bouche sur celle de ma sœur afin d’aspirer son virus… Je me décollais et attendais… En plein milieu de la nuit, ma sœur se réveillais et me trouvais à terre...Le visage aussi blanc qu’un linge tournant vers le bleu, les yeux ouvert et effrayés ainsi que la bouche encore ouverte de mes cris de douleurs. En voulant sentir mon pou elle s’était rendu compte que je n’étais plus de ce monde alors que elle, n’avait plus rien. Mon père était parti avec ma mère, ils étaient tombés en panne a 100kilomètre d’ici ma sœur pleurait et essayait d’appeler quelqu’un mais de toute façon c’était trop tard…

    Je rêvais…Je savais que j’étais morte mais je voyais cette femme dans le noir, elle était habillée de blanc et assise à côté de moi dans ce sombre endroit… Elle me regardait, puis me donnais un collier menu d’une croix avant d’ouvrir la bouche.

    Femme : Pour ton sacrifice…Sois celle qui veillera sur elle pour toujours.

    J'avais des fleurs dans les mains , je savais pas pourquoi mais j'en étais persuadée ! Je devais les lui donner.

    Mikuru : Tenez Madame ! *ris*

    Une limière venait derrière moi , je ne savais pas si c'était la mort en face de moi ou bien la bénédiction d'une inconnue.

     

    Chapitre 10.

     

    Femme : Arigatõ , Mikuru-chan...

    Elle me regardait et d’un bon était sur moi, elle essayait de m’étrangler…Je voulais me débattre mais je n’y arrivais pas ! La lumière m'ensevlissait... Je mourrais une seconde fois… pour me réveiller deux semaines plus tard dans une morgue froide et blanche. Je suis...depuis ce temps …devenue  un démon blanc…

     

    Fin du passé de Mikuru

     


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  • Le passé du Yumi.

    J’avais 7 ans… Je jouais avec mon petit frère et ma grande sœur dans le salon. Mon père nous avait quitté, il était mort en ayant servis son pays. On jouait à la marelle, nous l’avion fabriqué avec des livres et, nous sautions de livres en livre pour arriver au bout de la marelle appelée le « ciel ». J’étais apaisée le lendemain il y avait cours mais j’aimais bien aller à l’école à l’époque. Notre mère nous disait d’aller au lit mais têtue comme j’étais, j’étais allé me cacher dans l’armoire de mon frère. J’entendais des pats se diriger vers moi puis…

    Mère : *ouvre l’armoire* BOUH ! Alors tu croyais m’échapper Yumi ?

    Yumi : Aaaaah ! hahahahaaa  oui ! Je ne veux pas aller dormir’heuuu ! *court* Attrape-moi !

    Ma mère me courrait après avec mon frère. J’avais une super famille, elle était tout pour moi ! Je capitulais et allais dormir. Le lendemain je dût me rendre à l’école.

    Amie 1 : Yumi ! Ce week end on va au parc d’attraction avec ma mère , tu veux venir avec nous ?

    Yumi : On sera combien ?

    Amie 1 : 6 !

    Yumi : D’accord, je demanderai à ma maman à midi !

     

    Chapitre 11.

     

    Amie 2 : On rentrera que le soir ! Alors prépare un coussin pour dormir dans la voiture !

    Yumi : Hai !

    Il était midi et j’attendais ma mère dans la classe. J’étais assise sur le banc à lire un livre, j’entendais ma mère rigoler avec ma sœur.

    Mère : Yumi, je suis là ! Aller viens, j’ai fais ton plat préféré !

    Yumi : Ouiiiii !

    On était arrivé à la maison et on mangeait.

    Yumi : Okasan ? Je peux aller au parc d’attraction avec mes amies ce week end ?

    Mère : Il y aura des adultes ?

    Yumi : Oui les parents de ma meilleures amies seront avec nous !

    Mère : Bon d’accord ! Je vais les appelez et leur dire que c’est bon alors.

    Yumi : Arigatô okasan !

    Le week end était enfin arrivée, j’étais tellement impatiente ! Ma sœur était partie dormir chez une amie, seule ma mère et mon frère restaient à la maison. Je voyais les voitures des parents de ma meilleure arrivée. Je montais dans l’une d’entre elle et on partait pour deux heures de routes vers le parc d’attraction. Dans la voiture je sentais une drôle de sensation gênante voir déprimante… Mais on était arrivé au par cet j’avais déjà oubliée ce sentiment à la vue de tous ces manèges ! Je courrais dans tous les coins. La journée était passée trop vite ! Heureusement nous restions deux jours alors nous partions pour l’hôtel. Une fois arrivé, le hall était étonnement grand, les meubles avait l’air d’être vraiment très cher c’était tellement luxueux mais ce n’était rien d’étonnant connaissant la famille de ma meilleure amie immensément riche. On était tous dans une chambre appart des parents, on avait allumé la télé…

    Journaliste : Bonsoir à tous. Deux enfants ce sont échappés d’un asile psychiatrique, faîtes bien attention à vous ! Il se trouve dans une ville perdue dont nous ne connaissons malheureusement pas le nom !  Bonne fin de soirée à vous !

    Meilleure amie : Heureusement que nous sommes dans une grande ville ! *ris*

    Tous : Haiiii !  *rient*

    La nuit était passé et on avait déjà fait la reste des manèges à la fin de la matinée, alors ma meilleure amie avait eue l’idée d’aller en ville au marché aux puces ! Il pleuvait des cordes mais c’était amusant !

                                     

    Chapitre 11.

     

    On était sous une tante en attendant que la pluie passe ! Une fois fait on courrait pour trouver des choses intéressantes à acheter. Je marchais puis je découvrais une adorable petite souris ! Elle était tellement mignonne , je ne voulais pas la laisser dans cette cage sans amour ! Je devais la ramener chez moi !

    Yumi : Kawaii !

                                    

    Chapitre 11.

     

    Mère de sa meilleure amie : Tu l’a veux ? Je peux te l’acheter si tu veux !

    Yumi : Oh oui s’il vous plaît !

    Mère : Tu es vraiment une adorable petite, Yumi-chan !

    Elle me l’avait achetée et j’étais très contente ! J’étais devant chez moi et je disais au revoir à tout le monde, il était près de 2heure du matin. Je regardais la voiture s’éloigner , je voulais sonner chez moi mais la porte était déjà ouverte , c’était étrange.

    Yumi : Okasan ?!  Petit frère ?! Vous êtes là ?!

    Je courrais dans la maison, dans le salon, dans la cuisine , dans la salle à manger , dans ma chambre , dans celle de mon frère et de ma sœur puis celle de ma mère mais il n’y avait personne. Je regardais dans le jardin puis dans la niche du chien et dans la cave.

    Yumi : JE SAIS !

    Je n’avais pas regardé dans la salle de bain ! Plus je montais les escaliers, plus ce mauvais pressentiment revenais. Je poussais la porte de la salle de bain…Ce que je trouvais là était juste horrible et traumatisant. Ma mère et mon frère, morts tous les deux la bouche et les yeux ouverts , on pouvait encore voir la peur et la douleur sur leur visages… Que leur était-il arrivé ?!

     

    Chapitre 11.

     

                                    

    Je pleurais toutes les larmes de mon corps. Ma souris c’était échappées de la cage et se promenais dans le squelette apparent de ma mère et mon frère. Soudain, un bruit se faisait entendre en bas ! Je courrais pour voir ce que c’était, je suivais ce bruit jusque dans les rues. Ce bruit…c’était des rires de deux enfants, je trouvais enfin ces deux enfants, tout deux  assient parterre qui se tapais dans les mains, ces deux tête blonde avec les mains tachés de sang rigolais et chantaient. Ils s’arrêtaient de rire tout à coup et se tournaient vers moi, ils m’avaient vu. La plus grande d’eux deux m’attrapait par le bras avant de le briser en deux ; le plus jeune faisait de même avec l’autre. Je hurlais de douleur et  pleurais de peur, ils me torturaient avec un rire tellement cruel. Je sentais une lame s’enfoncer dans mon corps puis ressortir, la peau de mon ventre s’ouvrir , mes yeux partirent et enfin , mon cœur , arraché par leur propres mains…

    Lorsque je me réveillai, je n’étais plus moi, j’étais un démon rempli de haine prêt à tout pour se venger…

    Fin du passé de Yumi.

    Yumi : *pleure* Tu as tué ma mère et mon frère… Puis tu t’en est pris à moi ! Je n’avais pas besoin de finir orpheline juste parce que tu étais en colère contre les adultes ! Ce n’était pas juste ! Pareil pour toi Ichiko ! Même avec ta haine, pourquoi vous êtes vous venger sur ma mère !?! BANDE D’ENFOIRES ! *s’effondre en larme*

     

     

     

    Akiko et Ichiko baissèrent la tête, étonnement sereins . Ils ne montrèrent aucune tristesse à son égard.

    Ichiko : Cela est arrivé il y a bien longtemps.

    Yumi : Pas assez pour l’oublier ! Vous n’avez aucun cœur ou quoi ?!

    Akiko : « Aucun cœur » … Nakajima-san, cette phrase nous a été dite tellement de fois qu’elle ne nous affecte plus. Tu ne devrais plus vivre dans le passé.

    Yumi : COMMENT VEUX-TU QUE J’OUBLIE CA ?! COMMENT POURRAIS-JE RESTER EN COMPAGNIE DE MES MEURTRIERS JUSQU'A LA FIN DE CHAQUES EXISTANCES ?!!?

    Ichiko : Yumi. Assis-toi, ça ne vaux pas la peine de te mettre dans cet état. Ce n’était que des humains.

    Yumi : Moi aussi je n’étais qu’une humaine !

    Yumi parta de la cave, en pleure. Elle se réfugia sous un arbre loin d’eux.

    Nagisa : Quel humanisme… *regarde en l’air*

    Akiko : *soupire* Si j’avais de la pitié pour quelqu’un, je ne serai pas là. Prenez-en de la graine !

    Ichiko : Plus vous serez sentimental et moins vous aurez de chances dans la vie.

    Mikuru : C’est complètement faux !

    Akiko : Rien d’étonnant venant de toi Mikuru, mais rappels-toi que nous ne sommes pas de la même espèce.

    Mikuru : E-…Ha…Hai…

    Ichiko : Reprenons. Onee-chan ?

    Akiko : H-Hai !

     


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  •      La passé d’Akiko. 

     

    J’avais 4 ans…Mais tout commençais et ce complétais à partir de ma naissance. , déjà quand j’étais dans le ventre de ma mère, mon père espérais avoir un garçon comme ses autres enfants ! Il était déçu de voir que je n’étais qu’une petite fille sans défense. Alors ils décidèrent de faire une autre enfant, un garçon cette fois-ci (Ichiko). Ma mère prenait soin de moi alors que mon père ne me regardait même pas, vers mes deux ans, je me comportais déjà comme un gaillard, ce qui plu énormément à mon père. Il avait fini par m’accepter, mais pas parce que j’étais sa fille, non, parce j’étais un garçon manqué qui jouait aux voitures et qui se battais avec ses frères.  J’étais tout de même devenue son bijou ! Je l’aimais fort mon papa...

    Akiko : Otosaaaan !  Regarde, regarde ! *montre son nouveau jeux vidéo*

    Père : Encore un jeu de guerre ? Tu aimes vraiment te battre mon petit Akito.

     

    Chapitre 12.

     

    Akiko faisait bien trop fille pour mon père…

    Mère : Arrête de l’appeler comme ça, tu sais bien que ce n’est pas ce que tu voudrais, accepte-le enfin !!

    Père : *ris aux éclats* Tu entends ça Akito ? Tu es bonne pour jouer à la dinette d’après ta chère mère !

    Akiko : *ris* Iie !!! Pas question !

    Mère : *soupire* Nous allons à l’église, sois sage avec papa Akiko !

    Akiko : Haaaii~ !

    Ma famille était habillée de vêtement ancien, nous étions croyant et ma mère nous trainais toujours à l’église. Mais depuis la lubie de mon père, lui et moi n’étions plus accepté là-bas.

    Père : Tu as bientôt trois ans, mon garçon ! Tu deviens grand !

    Akiko : YAY ! J’irai à l’école avec les autres enfants. Je suis pressée... !

    Mes trois ans étaient eux arrivés bien vite, je faisais mes premiers pas à l’école ! Je me dirigeais vers les garçons pour jouer avec eux…

    Garçon 1 : Qu’est-ce que tu veux toi ?!

    Akiko : Je peux jouer avec vous ??

    Garçon 2 : On ne joue pas avec les filles, dégage !

    Garçon 3 : Ouais va jouer à la poupée !!!

    Akiko : Je m’appelle Yamasse Akito ! Je suis un garçon !

    Garçon 1 : N’importe quoi ! *pousse* Dégage !

    Les garçons me rejetais parce que j’étais une fille, mais pas que, les filles aussi me rejetais aussi, parce j’étais à moitié garçon ! On entrait en classe, la maîtresse nous donnait des coloriage et on jouait avec des jouets posés sur le tapis. Mais je restais seule car personne ne voulais de moi…La reste de l’année s’étais passé comme ça. La journée j’étais rejetée et le soir je  restais seule dans ma chambre pour pleurée. A ma deuxième année de maternelle, j’avais changée. J’avais décidé de devenir une vraie fille parmi tant d’autres ! C’est à ce moment là que tout à tourné au vinaigre…

    Le 05 Avril 2004, j’avais passé le week end chez mon oncle et ma tante avec ma mère, nous leur disions au revoir de loin. Ma grand-mère était avec eux.

    Mère : Arigatô onii-san !

                                       

    Chapitre 12.

     

    Oncle : Rentré bien !

    Tante : A une prochaine ! Mais n’emmène pas ta fille…c’est une vrai source d’ennuis ! *ris*

    Grand-frère : Arrête donc de dire des bêtises, tu fais peur à la petite !

    Mère : Bon on y va, mon mari va être en colère, Oba-chan !

    On était rentré à la maison, mon père m’ignorait quand j’essayais de lui parler. Mon grand frère m’avait acheté un poupon habillé en princesse, ce qui avait énervé mon père.

    Père : Tu vas arrêter avec ça ?! Tu ne dois pas jouer avec ces choses !!!

    Akiko : SI !

    Père : Iie !!! Akito, lâche ça immédiatement !

    Akiko : Arrête de m’appeler ainsi ! AKIKO ! A.K.I.K.O COMPRIS ?

    Mère : Eh oh, ce n’est pas bientôt fini vos chamailleries ?...

    Les jours qui suivaient étaient pareils…Mon père croyait ce qu’il voulait mais je ne voulais pas être sous ses ordres… Mais mon père reste mon père, je ne pouvais pas m’empêcher de l’aimer… Je pleurai beaucoup à cause de lui, alors ma maman, attendrie, me donnait l’ordinateur pour que je choisisse un livre sur le ventes par livraisons. J’avais choisis « Marie et Papa »

    Akiko : Peu être que ce livre arrangera tout !

     

    Chapitre 12.

     

     … Trois jours après, le livre arrivait à la maison ! Toute contente je m’avançais sur la terrasse ou mon père travaillait avec son ordinateur.

    Akiko : Otosaaan~ ! Tu peux me le li-

     

    Chapitre 12.

     

    Père : Qu’est-ce que c’est que cette connerie encore !?! C’est ta mère qui te l’a acheté c’est ça ?!

    Il prenait le livre pour lire le titre, il fronçait les sourcils.

    Père : Lis-le toute seule ton bouquin !

    Il me jetait le livre dans la figure. J’étais par terre, je pleurais à cause du coin pointu du livre qui avait atterris dans mon œil.

    Akiko : Huuu~ ! Huuuu~ !

    Père : ARRÊTE DE PLEURER ! TU VAS T’EN REMETTRE !

    Je comptais sur ce livre pour nous réconcilier  mais c’était encore pire, il me détestait vraiment… Je pleurais de plus en plus fort, ma mère était partie rendre visite à ma tante une fois de plus. Mon père se levait furax, me prenait par le bras et me tirait jusque dans la cave.

    Père : JE NE VEUX PLUS JAMAIS TE VOIR !

    Akiko : I...I…IIEEEEEEEEEEEE !!!

    Il m’attachait à deux blanches de bois perpendiculaires, qui formaient ensemble une croix. Je savais ce qu’il allait me faire, je connaissais le passé de mon père. Je savais les années de prisons qu’il avait faites, ainsi que les années d’asile et de centre psychiatrique. Mon père comptait sur ma naissance pour m’apprendre ses folies, comme mon grand père l’a fait avec lui, comme le grand père de mon grand père etc…

    Akiko : JE NE VEUX PAS DEVENIR COMME TOI !

    Père : *ris* Rassure-toi ! …Tu n’en n’aura même pas l’occasion ! *rire de psychopathe*

    Akiko : HUUUUUUUUU~ !! IIEEEEE !!!

    La folie lisait dans son regard. Il me plantait son couteau dans les mains, de plus en plus fort, il le ressortait puis le plantais dans mon ventre, il s’acharnait sur moi comme un sauvage. J’avais bau hurler et crier, il n’y avait personne pour m’entendre ! Ca durait depuis 20 minutes, mon sang ne s’arrêtais plus de couler et moi je n’arrivai presque plus à lutter…

    Akiko : O…Otosan…

            

    Chapitre 12.

     

     

    Père : QU’EST-CE QU’IL Y A ?! TU AS MAL PAUVRE PETITE CHOSE ?!?

    Akiko : Appel…Appel-moi…Akito…une dernière f…fois…Papa… !

    Père : *éclate de rire* TU CHANGES D’AVIS MA FILLE ?! PITOYABLE HAHAHAHAAA !

    Il partait dans la remise pour revenir avec une tronçonneuse …Il s’approchait de moi, j’avais peur.

    Père : SERRE LES DENT HAHAHAHAHAHAAAAA !!! CREEEEEEEEEEEEEEVE HAHAHAAAA !!!

     

    Chapitre 12.

     

    Il se jetait sur moi avec sa tronçonneuse …Après 10 minutes, rien que pour son plaisir, il m’avait coupé les deux jambes…Je n’avais plus de sang en moi, j’étais morte et personne n’étais venu m’aider…

    …D’un coup…mes yeux s’ouvraient, j’essayais de respirer mais je n’y arrivais pas. Lorsque ma respiration s’était débloquée,j'étais par terre au pied de la croix , je réussissais à me relever pour atteindre le téléphone mural et appeler une ambulance avant de retomber de perdre conaissance. A mon réveille j’étais couché dans un lit d'hôpital avec un masque pour respirer... Je n’avais plus rien appart des marques douloureuses.

     

                           Chapitre 12.

     

     Je repensais à mon père, un sourire sadique au coin de la bouche… C’est là que commençais ma vengeance.

     

    Fin du passé d’Akiko.

     

     

      

     

     


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  • Chapitre 13.

    Le passé d’Ichiko.

    ~Générique du Chapitre 13~

    C’était à mes 3 ans… Je jouais aux cubes avec Akiko. Ma mère était assise près de nous, elle lisait un livre pendant que mon père regardait la télé.

    Akiko : Ichiko regarde ! *fait voler un avion en plastique* bwuuuuuuuuuuuh !!! Attention, l’avion fonce dans la tour de cube ! BOUM !

    Ichiko : *ris* Marrante onee-chan !

    Père : Ichiko va jouer avec des garçons, des vrais brutes.

    Ichiko : Non je m’amuse bien avec onee-chan !

    Akiko se levait pour chercher à boire alors je l’accompagnais dans la cuisine. Ma sœur ne parlait jamais à mon père, elle ne le regardait pas et sur tous ses dessins il y avait, maman, elle et moi mais jamais notre père. Elle faisait comme s’il n’existait pas et il faisait de même.

    Akiko : Tu veux manger ?

    Ichiko : Hai !

      

    Chapitre 13.

    Je ne comprenais pas mais dès que je posais la question à mon père ça tournait mal, et ma sœur, elle, ne me répondais même pas. Mais j’avais tellement envie de s’avoir que je pris mon courage à deux mains pour lui demander.

    Ichiko : Akiko ?

    Akiko : Hai ?!

    Ichiko : Pourquoi toi et papa vous ne vous parlez jamais ?

    Akiko : *hum* Papa ? *ris* Quel papa, petit frère ? *sourit*

    Ichiko : Il est assit sur le canapé regarde ! *pointe du doigt*

    Akiko : Je ne vois personne ! Tu as une imagination débordante… *ris et caresse la tête d’Ichiko* Tu sais bien qu’otosan est avec le diable.

    Je n’osais pas continuer le sujet, alors je mangeais ce que ma sœur m’avait donné très calmement, quand ma mère entrait dans la cuisine, pressée et énervée. D’ailleurs ma mère les laissaient s’ignoré elle aussi.

    Akiko : Qu’y a-t-il okasan ?

    Mère : Votre tante m’a encore une fois appelée ! *se parle à elle-même* Cette vieille conne, toujours à me demander de l’argent. J’y vais les enfants, bonne journée ! *par e claquant la porte*

    Ma tante appelait souvent notre mère, le couteau à la gorge, menaçant de se tuer tout en pleurant car elle était surendetté, du coup notre mère se devait toujours lui prêter de l’argent… C’était le soir, j’étais assis sur le canapé avec Akiko, nous étions dans le noir. Ma mère n’était pas rentrée ce soir là alors mon père…en a profité. Il ne m’avait jamais rien fait et sans que je comprenne, il me battait... Je pleurais en suppliant mon père d’arrêté, ma sœur était dabs un coin du canapé, les jambes récroviés.

    Ichiko : O-ONEE-CHAAAAN ! *pleure* J’AI MAAAAL !

    Père : *frappe* FERME TA GUEULE !

    Akiko : *s’avance vers Ichiko* Ichiko… !

    Père : *pousse Akiko en frappant son fils* NE T’APPROCHE PAS TOI ! EXCUSE-TOI !

    Akiko : Ah !!! … Gomenasai…Gomenasai…

    Ichiko : Onee-chaaaaan ! Sauve-moi ! Sauve-moi !

    Akiko : Gomenasai, Gomenasai , Gomenasai , Gomenasai […]

    Mon père me frappait de plus en plus fort, je n’arrivais presque plus à respirer…

    Akiko :GOMENASAI-GOMENASAI-GOMENASAI-GOMENASAIII !!! LAISSE-LE TRANQUILLE !

    Mon père se stoppait d’un coup et la regardait…du moins je suppose… Nous étions toujours dans le noir, j’étais parti me cacher sous la table pendant que mon père violait ma sœur, c’est vrai que pour ça, il ne l’ignorait pas… Le lendemain, ma mère était de retour, et tout se passait exactement comme avant, je cachais mes bleus et la fille et le père s’ignoraient. Ma mère était douce et gentil avec ses enfants, c’était une mère model. Il y avait toujours cette photo d’elle sur la table du salon à la naissance de ma sœur (la mienne était sur ma table de nuit) ... Avec Akiko nous jouions dehors avec nos frères.

    Ichiko : A moi le ballon, à moi !

     

    Chapitre 13.

     

     

     

     

    Frère : Attrape-le ! *lance*

    Ichiko : *Le rattrape* Yaaay !

    Tous mes frères ainsi qu’Akiko s’occupaient de moi et jouaient les grand(e) frères/sœur model ! Après une heure de jeu, la cloche de l’église retentissait dans la ville, notre mère nous appelaient pour rentrer dans l’église, nous étions vêtu avec de somptueux vêtement…

    Frère : Tu viens avec nous Imouto ?

    Akiko : Bien sûre ! Je suis une fille maintenant !

    Frère (autre) : Tu l’as toujours été je te rappel ! *ris*

    Une fois que nous étions tous assis, le prêtre commençait sa messe. En pleins milieu, ses paroles avaient été coupées par la sonnerie du portable à maman. Nous avions donc dût tous sortirent et rentrer à la maison, ça nous arrangeait bien !

    Mère : Les enfants, vous passerez la semaine avec votre père d’accord ? Soyez sage ! Moi je reste chez tata pour un petit temps, mais je vais revenir !

    Aîné : Encore ?! Tu passes ta vie là-bas !

    Mère : *soupire* Vous savez bien…

    Tous avec la mère : La famille passe avant tout…

    Sur ses morts , ma mère avait pris sa voiture et partait en nous faisant signe de la main.

    Père : Alors les garçons ! Comment ça va le baseball !?

    Les frères : Génial papa !

    Aîné : Nous avons gagné le dernier match !

    Père : C’est super ça ! *ris*

    Aîné : *hum* Je parle au nom de tous les frère Yamasee, participant au tournois ; nous avons des matchs toutes la semaine, pouvons-nous dormir au camp d’entraînement avec le reste de l’équipe ?

    Père : Bien sûr mes enfants ! Mes réussites !

    Il disait ceci en nous regardant, nous, les plus jeunes, l’air de dire « Prenez exemple ». Une demi-heure après, tous mes frères étaient parties. Mon père baissait les volets, éteignait toutes les sources de lumière et enfin, s’approchait de nous… Eh oui, il recommençait. Et ça trois soir d’affilé...Mais le quatrième soir, Akiko était enfermée dans sa chambre et moi tout seul avec mon père.

    Ichiko : Je t’aime…

    Père : Vraiment ? HAHAHAAAA moi je t’es toujours détesté…

    Ichiko : Quo…Quoi ?!?!

    Père : Déjà à ta naissance je te détestais ! J’avais regardé dans le berceau…Cette nouille blonde, ce n’était pas moi ! Tu ne me ressemblais pas, j’ai tout de suite su que ta mère m’avait trompé ! TU ES L’ENFANT D’UNE MERDE ! TU ES UNE MERDE ! *frappe*

    Ichiko : AIE !! Ce n’est pas vrai je… je…

    Mon père ma frappais de plus en plus fort.

    Père : TU N’ES PAS MON FILS !  J’AI TOUJOURS ATTENDU CETTE OCCSAION POUR T’ELLIMINER HAHAHAHAAAAA !!!

    Ichiko : AAAAAHHHHGH *COUGH COUGH* !!!

    Mon père me frappait en essayant de m’étrangler, mais à côté du canapé se trouvait une batte, il l’avait pris pour me taper…Il me frappait tout le corps, puis il me donna le coup fatal en m’explosant la tête contre un mur…

    Père : *rire de psychopathe* SAL MIOCHE HAHAHAAA !

    Mon père était dans sa folie, il était parti dehors, mon corps dans les bras, il se dirigeait ver la forêt. Arrivé au centre de la forêt, il y avait un lac. Déterminé, il avait balancé mon cadavre dedans avant de s’en aller et dormir.

     

    Chapitre 13.

     

    Je me réveillais…J’étais au fond de l’eau, les poumons vidé de tout air. Quelqu’un me prenait et me remontais, à la surface je pouvais nouveau respirer…

    ??? : Eh bah mon petit ! Tu as eu de la chance tu sais ? Ou est-ce que tu t’es fait mal ?

    Ichiko : Bonjour…

    ??? : Ah oui pardon ! Je suis un policier mon petit, tu te rappel comment tu es tombé dans ce lac ?

    Je le savais très bien mais je n’osais pas le dire…

    Ichiko : Non…

    Policier : Je vois…Nous allons te ramener chez toi , d’accord ?

    Ichiko : Hai…

    Le policier sonnait chez moi , mon père lui ouvrait la porte , quand à moi , j’avais courru dans les bras d’Akiko , nous étions caché pour écouter leur conversation…

    Policier : Ce n’est pas bon de laisser votre fils tout seul dehors !

    Père : *Simule des larmes* Je…Je sais ! Il est sorti pendant la nuit car j’avais oublié de fermé à clé, je suis un père indigne bouhouhouuw…

     

     Ichiko : JE TE DETESTE !

     

    Akiko : Chuuuut !

     

     

    Chapitre 13.

      

     

    Policier : Allons, allons monsieur ! Dîtes-vous que vous ne ferez plus cette connerie. Votre fils à été retrouvé dans un lac, il y avait du sang autour de lui dans l’eau mais nous avons vérifié, appart quelque bleu il n’a aucune blessure.

    Père : Merci ! Merci !

    Policier : Pas de soucis, c’est notre métier monsieur ! Au revoir.

    Père : Au revoir !

    Mon père fermait la porte, il nous regardait (surtout moi), ne comprenant pas comment j’avais pu survivre... Moi non plus je ne comprenais pas d’ailleurs. Le sang et la batte avait été nettoyé et mes frères étaient rentré accompagné de ma cousine qui dormait chez nous. Le soir était arrivé, nous dormions tous.

     

    Chapitre 13.

     

     Au dessus de mon lit, se trouvait un mobile bien étrange…, ma sœur me chantait une chanson, le regard vide en souriant. Elle s’était stopper, elle mon montrait de grande poupées dans le coin de ma chambre…Elle se mettait à rigoler comme mon père avant de me saisir et de prendre un couteau.

    Akiko : *parle a voix basse* Vengeance…hahhaaaaha~...

    Elle était déchaînée, elle tuait deux de mes frères devant moi, tout ce sang… cette haine…l’adrénaline montait dans mon corps, je voulais aussi ! Aussi…tuer !!!           

                                (Prologue de l’histoire)

                                           […]

    Ma sœur m’avait expliqué que je ne pouvais, maintenant, ne plus jamais mourir ! ~La vengeance est un plat qui se mange froid~

     


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  •  ~Kasoku.~

     

    Suzuki : Quel père indigne…

    Ichiko : Peu importe. Ce sera tout pour aujourd’hui, c’est bien assez d’émotions.

    Tous : Hai !

    Ils sortirent tous pour rentrer chez eux. Suzuki arriva chez elle un peu troublée mais avant qu’elle puisse monter, sa mère la stoppa.

    Mère : On va voir ta grand-mère, tu viens ?

    Suzuki : Non.

    Mère : Dommage tu n’as pas le choix !

    Suzuki : Huuuuuuuuu~…

    Ryou : Oba-chan est à l’hôpital ! Alors on va lui dire bonjour et lui donner des fleurs !

    Suzuki : Ah… Qu’est-ce qu’elle a ?

    Ryou : Malade !

    Mère : *chuchote* Le cancer…

    Suzuki : How…

    Suzuki, sa mère et sa sœur se rendirent à l’hôpital, ils s’installèrent  dans la chambre pour parler un peu avec elle. Suzuki, qui s’ennuyait, sorti de la chambre pour se balader un peu dans les couloirs. Elle y vit des patients partir en urgence dans les salles d’opérations et des nourrissons avec leur mère se faire transféré de chambre en chambre. En arrivant dans un couloir elle remarqua une porte qu’elle n’avait encore jamais vu.

    Suzuki : « Interdit d’entré sauf personnes autorisées. » Mince…

    Elle allait rebrousser chemin, mais sa curiosité l’a rattrapa, elle poussa alors la porte et tomba dans une pièce sombre, avec quelque  tube à essais installé au dessus de rayon de lumière bleus très faible. Elle s’avança vers les tubes à essais pour regarder ce qu’ils contenaient.

    Suzuki : Des embryons ? Beurk. Et ça qu’…qu’est-ce que c’est que ce machin on dirait de la glue fluoré sante… ?!

    ??? : Tu n’a pas le droit d’entré ici.

    Suzuki : *se retourne* AAH !!! Oh euh…Je …Hem…

    ??? : *soupire* Maintenant que tu es là c’est trop tard, mis ne casse rien tu veux ?

    Suzuki : Hai…*lis le badge* Madame…Chõjo… Huh ?! Vous êtes la mère de…Mh…non…

    Docteur Chõjo : La mère de Nao et Shizumasa ? *ris* Oui ! Et tu dois être Kishigu-san n’est-ce pas ?

    Suzuki : Ha-Hai ! Enchantée.

    Docteur Chojo : De même, mais écarte toi des expérience tu pourrai faire tomber quelque chose…

    Suzuki : *recule* Sumimasen…

    Aucunes d’eux deux ne parla, Suzuki regardait ce qu’elle faisait. Le docteur se retourna vers elle.

    Docteur Chõjo : Suzuki-san, puisque tu es là, peux-tu me rendre un service s’il te plaît ?

    Suzuki : Bien sûr !

    Docteur : J’aimerai que tu aille me chercher un dossier sur un patient, mais ne l’ouvre pas compris ? *lui donne une petite feuille* Tu donneras ceci au gérant des casiers !

    Suzuki : Entendu !

    Suzuki sorti de la pièce, remonta les escaliers et se rendu devant une la pièce remplis de casier, devant il y avait une porte en vers, à côté une cabine de verre avec un homme à l’intérieur.

    Suzuki : Bonjour ! *donne le papier*

    Homme : Nanani...nananaaah…ok c’est bon. *ouvre la porte*

    Suzuki le remercia et entra dans la pièce, il y avait une vingtaine d’étagère avec au moins une centaine de boîtes en carton dessus.

    Suzuki : Alors …F…H…J…K ! Alors Ka… Ah voilà !

    Suzuki prit le dossier mais fit tombé une boîte, elle se baissa pour la ramasser mais son regard se posa sur un nom particulier. « Dossier Kikuki. »

    Suzuki : Je ne doit pas l’ouvrir mais…maiiis…Au et puis zut, Nagisa ne m’en voudra pas !  *ouvre le dossier et lis*

    Soudainement, elle entendit des voix provenir de la porte, elle se dépêcha de sortir son portable, prendre la page en photo et ranger le dossier et la boîte sur l’étagère. Une fois sortit, elle se rendit chez la mère de ses amis  lui donner le dossier puis retourna auprès de sa mère.

    Mère : Suzuki ?...Suzuki ! OH ! *bouscule*

    Suzuki : Ah ! Euh oui ?

    Mère : On est là pour voir ta grand-mère , ne reste pas sur ton portable comme ça !

    Grand-mère : Allons allons , laisse la *ris* Elle est jeune , je ne vais pas l’obliger à me parler , ce n’est ni une adulte ni un petite fille !

    Mère : M’enfin maman…

    Ryou : Moi je suis une petite fille , hein mamie ?

    Grand-mère : *ris* Oui ma puce !

    Suzuki : Une gamine oui ! *grand sourir*

    Ryou : Maiiiiis !!!

    Après deux bonnes heures, la famille rentra chez elle. Suzuki appela Akiko.

    Akiko : Mōshi mōshi ?

    Suzuki : A-Akiko ?!

    Akiko : Hai ?

    Suzuki : J’ai trouvé quelque chose à l’hôpital de…Bizarre ! C’est à propos de Nagisa et Kota.

    Akiko : Hum, ok. On se retrouve demain derrière le collège.

    Suzuki : Mais il y a cours demain !

    Akiko : Ce n’est pas grave ! *raccroche*

     

    Suzuki raccrocha à son tour puis alla se coucher… Le lendemain, elle se leva un peu stressée par ce qu’elle avait découvert. Une fois derrière le collège, elle attendit Akiko tout en chantant. Elle vu son amie arrivée de loins

    Suzuki : AKIIIIKO !!!

     

    Chapitre 14.

     

    Akiko : Suuzukiiiiii !

      

    Celle-ci la rejoignait et elles montèrent dans  la salle du club.

     

    Akiko : Alors, montre-moi ta découverte !

     

    Suzuki : *prend son portable* Tiens regarde…

     

    Akiko : Ne me dit pas que ça parle de notre Nagisa ?!

     

    Suzuki : Si…

     

    Akiko : « Naissance : 07 janvier 1999. Type : Jumeaux. Sexe : Femelle / Mâle. Nom et prénom : Nagisa et Kota Kikuki... »

     

    Suzuki : *voit un papier qui dépasse et le prend* Tiens ? « En ce jour du 07 Janvier 1999, je suis  heureuse de vous annoncer la naissance deux mes deux enfants Nagisa et Kota. Cette lettre sera adressée au gérant de l’orphelinat… Mes enfants, tous petits et tous roses, ils sont pour moi le plus beau cadeau qu’il ne m’est été offert. Malheureusement, vu notre situation financière, mon mari et moi avons décidé de confié le petit nourrisson à sa tante, qui, à toujours désirer avoir un garçon. J’espère que vous tiendrez compte de nos désirs en tant que parents. Cordialement Madame Kikuki. »

     

    Akiko : La mère de Kota est …sa tante ?!?

     

    Suzuki : C’est bien ce qu’il est écrit ! Sauf si l’orphelinat n’a pas pris en compte ce qu’il était écrit…

     

    Akiko : Sauf que sa tante lui ressemble comme une mère, donc sa concorde parfaitement, alors que Nagisa tiens de son père.

     

    Suzuki : Ils sont frère et sœur…Je comprends mieux pourquoi ils s’entendent si bien… On doit leur en parler !

     

    Akiko : Non ! Ce…  ce serai trop violent !

     

    Suzuki : Attendre encore ?! Tu arriverais à les voir se parler sans leur dire qu’ils sont en ait du même sang ?!

     

    Akiko : Iie…

     

    Suzuki : A la fin des cours on les attrape et on les emmène ici !

     

    Suzuki et Akiko restèrent jusqu’à que la sonnerie retentisse, à ce moment elles se précipitèrent devant leur classe et attrapèrent Nagisa et Kota. Une fois nouveau dans la salle, elles se posèrent au milieu de la pièce en les regardant sérieusement.

     

    Nagisa : Il se passe quelque chose de grave ?

     

    Suzuki : Pas vraiment.

     

    Kota : Alors c’est anodin ?

     

    Akiko : Sûrement pas !

     

    Nagisa : Expliquez-nous !

     

    Suzuki : *tend la lettre* Tout est écrit là.

     

    Il y eut un long moment de silence, après qu’ils eurent tous les deux lus la lettre , leur pensées étaient complètement perdues. Mais la cloche pour annoncer la fin des cours venaient de sonner et tout le monde devait rentrer à la maison…

     

    [Maison de Nagisa.]

     

    Nagisa entra en furie dans le salon.

     

    Nagisa : TOI !!!!

     

    Mère : Oui, je suis ta mère ?

     

    Nagisa : POURQUOI TU M’A CACHEE QUE J’AVAIS UN AUTRE FRERE ?!

     

    Mère : Comment tu-

     

    Nagisa : TA GUEULE !

     

    Mère : NAGISA !

     

    Nagisa : *En pleure* Tu m’as laissé sur la déception d’avoir tué mon seul frère ! Tu n’a même pas pensé que tu avais c’est autre enfant, le jumeaux de ta fille en plus ! TU ES UN MONSTRE ! *par en courant dans sa chambre*

     

    Mère : Na-NAGISA !

     

     

    [Chez Kota.]

     

    Kota rentra chez lui, le pas lent pour s’effondrer sur son lit. Sa mère qui l’avait vu dans un tel état, entra dans sa chambre et s’installa à côté de lui.

     

    Mère : Alors qu’est-ce qu’il y a mon grand ? *bisou sur la tête*

     

    Kota : Tu es…Ma tante…vraiment ?

     

    Mère : Oh…*hum hum* Oui…Comment as-tu découvert ça… ?

     

    Kota : J’ai mes sources…

     

    Tante : Je suis vraiment désolé…Tu n’es pas trop  triste ?...

     

    Kota : Iie…Je suis surpris, tu parles ! C’est trop bien que Nagisa sois ma sœur, je ne la perdrai jamais ! Et tu restes ma mère mais…Ce qui me trouble…

     

    Tante : Mh ?

     

    Kota : C’est quand j’avais 4 ans avant de tomber amoureux de Suzuki…NAGISA ETAIT MA CHERIIIE ! Huuuuuuuu~ TwT

     

    Tante :*Explose de rire* HAHAHAHAHAHAAA !! Mon pauvre chou, mais s’il n’y a que ça qui te trouble tout va bien ! Oyasumi !

     

    Kota : *tout blanc* Oyasuminasai… °w°…

     

    Il alla se changer, puis s’enroula dan ses couvertures…Il envoya un message a Nagisa avant de s’endormir.

     

    Kota -> Nagisa : Oyasumi , onee-chan !

     

    Nagisa -> Kota : Aishiteru ! onii

     

                                 […]

     

     

      

     

     

     


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