•   

     Jisatsu… ?

    [Générique du Chapitre.] 

      

    Ce matin là, Subaru se leva avec la boule au ventre. Il alla prendre son petit déjeuné à table avec ses parents et ses sœurs.

    Mère : Bonjour ! Alors comment vas-tu ce matin ?

    Subaru : …Comme tous les autres matins…

    Kanade : C’est encore ta petite copine ?

    Subaru : Ouais…

    Li : Ouuuuuuuuh ! Subaru a une chérie-euuuh ! *ris*

    Subaru : Tais-toiiiiiii !

    Kanade : Bah oui ! Pourquoi Li, t’es jalouse ? *ris*

    Ki : Nan je suis pas jalouse ! Moi j’en est quatreuh ! Hein, maman ?

    Mère : Oui ma chérie…

    Subaru : Eh bah tu y va fort toi !

    Le petit déjeuné continua ainsi. Il monta dans sa chambre pour préparer ses affaires. En cherchant quelque chose dans son sac il tomba une photo qu’il avait prise (et encadré) avec Akiko. Les larmes lui montait aux yeux mais il essayait de les retenir et d’être fort. Sa sœur entra dans chambre et le surpris avec les yeux rouges.

    Kanade : How…Alors comme ça…Ca ne va vraiment pas avec ta petite amie…

    Subaru : Pas du tout…J’ai fait le con et voilà que tout me reviens  dans la gueule ! Même si elle…non c’est ma faute…Si j’avais fermé la fenêtre…

    Kanade : Comment aurais-tu pu savoir ?!

    Subaru : Je savais qu’elle avait été traumatisé par son passé ! Et je ne sais pas… Pourquoi je n’es pas eu le reflex de la fermer pour ne pas qu’elle prenne froid par exemple ?!

    Kanade : Mais non allons ! D’ailleurs le commissariat à appelé, dans une semaine nous avons rendez-vous au tribunal…

     

    Chapitre 17.

     

    Subaru : J’ai peur…

    Kanade : Mais non ! Ca va aller ! *câlin*

    Subaru : Arigato…Enfin bon…Je vais y aller ! A toute !

    Comme tous les matins depuis 5 jours, il se rendit chez Kota pour voir son état car depuis que Suzuki l’avait quitté il n’était plus ce qu’il était avant. En arrivant chez son ami, ce fut Yumi qui lui ouvrit.

    Yumi : Oh, Ohayo Subaru-kun ! Kota est a table tu peux aller le rejoindre !

    Subaru : Arigatõ ! Hm…Tu pars déjà ?!

    Yumi : Oui, je dois aller plu tôt pour aider le professeur avec les filles, on est encore « punies » A plus ! *part*

    Subaru : A tout à l’heure ! *va dans le salon* Ohayo Kota !

    Kota : Oh, Subaru ! Ohayo.

    Subaru : Alors comment tu vas ce matin ? Tu tes laver les lèvres que je t’avais dis ? Parce que le rouge à lèvre commençais à coller tu sais !

    Kota : *ris* Hahahaha oui ! …Merci Subaru d’essayer de me faire rire, c’est sympa !

    Subaru : *Petit coup de poing sur le bras* De rien mec, c’est normal ! *tape dans ses mains* Aller t’es près ? On va être en retard !

    Kota : J’arrive !  Mais euh EH ! Il n’est que 7h30 ! On a largement le temps…

    Ils montèrent dans la chambre de Yumi. Kota se jeta sur le lit avec Subaru.

    Kota : Son lit est si confortable… *ferme les yeux*

    Subaru : Moi je me demande quel bonnet elle peut bien faire… ?

    Kota : HUUUH ?! Subaru espèce de pervers !

    Subaru : Mais non, pas du tout ! Mais j’en avais jamais vu des aussi gros à travers un-t-shirt avant !

     

    Chapitre 17.

     

    Kota : Bah et Suzuki ?! Et Mikuru ?! ET NAO ?!

    Subaru : Bah c’est quand même Yumi qui en a le plus ! Puis j’ai l’habitude de voir Akiko en maillot quand il fait trop chaud chez elle et croix-moi ça n’a rien à voir !

    Kota : *ris* Pas faux ! Attend je sais !

    Kota se leva puis alla fouiller dans les torroirs de Yumi pour trouver un soutif à elle.

    Kota : Ah, voilà ! Alors bah… C’est pas écrit ! TT-TT

    Subaru : *parle avec un drôle d’accent* Alors, mon cher, si j’ai bien compris, nous ne connaitrons jamais le bonnet de damoiselle Nakajima hmmm ?

    Kota : *fais de même* C’est exactement ça mon cher, dommage pour nos yeux !

    Ils éclatèrent de rire et partirent tous les deux pour le collège en parlant de tout et n’importe quoi.

    [Chez Akiko.]

    #Toc Toc.#

    Akiko : J’arrive ! *ouvre la porte* Shizumasa-kun ! *calin* Qu’est-ce que tu fais là ?! :3

     

    Chapitre 17.

     

    Shizumasa : Je suis venue te cherché ! Pas que tu nous fasses un malaise au milieu de la route quand même ! //Elle...Elle ressemble à une poupée !//

    Akiko : Hahahaha non non ! Aller on y va !!!

    Shizumasa : Tu es vraiment jolie...Enfin ! Tu ressembles...

    Akiko : Merci ! Je ressemble...? *ris*

    Shizumasa : Rien c'est juste que tes habits... tes yeux je...

    Akiko : Mes yeux ?! Ah ! Ce sont des lentilles ! *ris*

    Shizumasa : Ah je me disais aussi, tu ressembles à une poupée...Une très jolie poupée !

    Akiko : *ris* Merci pour ses compliments Shizumasa ! J'arrive je vais prendre mon sac !

    Akiko alla chercher son sac, en passant devant la cuisine, elle ouvra discrètement le placard et bu l’intégralité du flacon avant de le remettre. Elle se stoppa et sourit en laissant  s’échapper une larme.

    Akiko : *sourit* C’est la fin…

    Entendant Shizumasa l’appeler, elle sortie de ses pensées et sortie le joindre.

    Lorsqu’ils arrivèrent devant le collèges, à quelques è mètres devant eux se trouvait Kota et Subaru…

    Subaru : Kota…Elle est là.

    Kota cherchait Akiko en faisant de grands gestes absolument pas discrets. Subaru devînt rouge de honte.

    Kota : Ou ?! Ou ca ?!

    Subaru : Imbécile ! Regarde-la discrètement ! Près du portail…

    Kota : Ah oui ! Elle est avec Shizumasa-san.

    Subaru : ENCORE LUI ?! *sert les poings* Kuso ! Kuso ! Kuso ! Kuso-

    Kota : Eh oh, calme-toi ! Ils nous regardent…

    -

    Akiko : Oh non, ils nous regardent !

    Shizumasa : Tu devrais les ignorés non ?

    Akiko : Je sais pas ! Est-ce que j'en est envie au moin ?! Arrrrrrrrgh..

    Shizumasa :  Ca va aller ! *sourit*

    Pour la calmer, il lui caressa la tête mais elle était beaucoup trop occupé à les regarder.

    -

    Quand Subaru vu ça, son sang se mit à bouillir et la colère et la jalousie se mélangeait. Il finit par s’énerver pour de bon.

    Subaru : Ah tu veux jouer à ça hein ?!

    Kota : Bah qu’est-ce que tu fais ?!!

    Subaru, sachant qu’Akiko le regardait, en profita pour se venger. Il attrapa une fille, qui passait à côté de lui, par la taille et l’embrassa longuement et tendrement. Akiko qui le voyait de loin avait le regard figé. Elle n’en revenait pas, Shizumasa l’a pris aussi tôt dans ses bras mais c’était trop tard, elle pleurait déjà. Lorsqu’il l’a lâcha, elle se mit à courir en pleurant jusque chez elle. « Ce n’est pas assez rapide !!! » Elle prit un couteau de bouché dans la cuisine puis le rangea dans son sac, caché en dessous des habits de sport. Elle monta sur le toit du collège et regarda l’horizon…

    Akiko : C’est la dernière fois…Que je vois une aussi belle chose. *sourit* Ca va me manquer.

    Elle sorti le couteau de son sac… Pendant ce temps, les autres (sauf Kota et Subaru à l’écart) étaient dans la cours et discutait sans savoir ce qu’il se passait… Suzuki s’agitais dans tous les sens.

    Suzuki : Ma imouto-san revient aujourd’huii-euuh ! :3

    Shizumasa : Oui enfin, si elle revient après ce que je vous es dis…

    Suzuki : Ne gâche pas mon plaisir baka ! Et puis d’abord, t’es pas sensé être là !

    Shizumasa : Chhhht… *signe du doigt sur la bouche*

    Suzuki : Grrr ! Ichikooooo-kuuuuuuun !

    Ichiko : Haiii ?

    Suzuki : Je peux sauter sur ton dos ? :3

     

    Chapitre 17.

     

    Ichiko : Bien sûr mais près de l’élan…Mais pas trop hein ! Je suis pas très fort >w< !

    Suzuki : Compris !!!

    Suzuki reculait, reculait et reculait à quelques mètre de lui, au moment ou elle s’apprêtait à courir, elle leva la tête au ciel, se stoppa et plissa les yeux…

    Suzuki : Ce…AKIKO EST SUR LE TOI !!!

    Tous sauf Suzuki : HUH ?!

    Nagisa : Mais qu’est-ce qu’elle fiche là-haut ?! C’est beaucoup trop dangereux !

    Mikuru : Elle est maladroite, elle risquerait de tomber !

    Tous les amis, même les deux à l’écart se précipitèrent dans les escaliers menant au toit, ils arrivèrent au niveau de la porte pour y acceder.

    Kota : C’est fermé !

    Nao : Trouvez un moyen !!!

    Subaru : *force* J’y arrive pas ! >°<

    Nagisa : Poussez-vous ! AYAAAAHHH !!!

    Nagisa défonça la porte qui s’ouvrit sous la force de coup de pied.

    Kota : Comment t’a fais ca ?!

    Nagisa : J’ai appris ça dans les jeux vidéo ! //AIIIIIIIIE !//  

    Ichiko : *voix sa sœur* ONEE-CHAN !! RECUL DU BORD !

    Akiko : Oh…Vous êtes là…

    Suzuki : Le…Le couteau !!

    Shizumasa : Akiko, qu’est-ce que tu compte faire avc ce couteau ? S’il te plaît,  viens vers nous !

    Akiko : *yeux mouillé sans expression* Mourir. Ichiko… Tu sais pourquoi je n’allais pas bien malgré que je mangeais ? C’est parce dès que Shizumasa partait, j’allais dans le placard à pharmacie de papa et maman. Tu sais, dans leur bureau… Là-bas il y a de nombreux médicament non approuvés et poison mortelle…

     

    Chapitre 17.

     

    Mikuru : Qu’est-ce que tu veux dire ?!

    Akiko : Je les est mélangé…et trois fois par jours depuis 5 jours, je bois se mélange… je ne pensais pas tenir aussi longtemps, mais malheureusement appart des mal de crâne horrible je n’arrive pas à mourir…Alors cette fois… *met le couteau au niveau de sa gorge et sourit*

    Nao : *se tourne vers Ichiko* Je croyais que les démons ne pouvaient pas mourir ?!

    Ichiko : Je vous est mentis… Nous pouvons tous mourir…Mais seulement si l’âme en as envie, les suicides sont donc tout à fait possible…

    Suzuki : QUOI ?! AKIKO ARRETE ! POURQUOI TU FERAIS CA ?! TU AS TOUTES LA VIE ET BIEN PLUS DEVANT TOI !

     

    Chapitre 17.

     

    Akiko : *ris* C’EST TROP TARD ! TOUT CA …C’EST TA FAUTE SUBARU ! *pleure en même temps* TA FAUTE ! ET MAINTENANT QUE TU AS EMBRASSER CETTE FILLE C’EST ENCORE PIRE !!! JE TE DETESTE !!!

    Elle prit le couteau fermement en main et commença à s’entailler la gorge de tous les côtés pour facilité la coupe. Subaru ne savait pas quoi faire, tout ça, c’était de sa faute ! Il ne pensait pas qu’Akiko avait… « un cœur aussi fragile et dangeureux à la fois »…

    Subaru : ATTEND !!! CE N’EST PAS CE QUE TU CROIX ! J’ai embrassé cette fille parce que j’étais jaloux de te voir avec Shizumasa… Quand je suis venu chez toi, j’avais une idée derrière la tête ; je voulais te demander de ressortir avec moi. *avance doucement vers elle* Après notre rupture, j’ai tout de suite regretté d’avoir fait ça mais ma fierté a été plus forte que moi ! *pleure* Je suis désolé… je t’en supplie ne fait pas ça ! JE T’AIME… ! *ravale des larmes*

    Akiko, pétrifiée et tremblante, lâcha le couteau qu’elle avait en main, tomba à genoux et pleura le visage dans les mains… Les autres ne bougeaient plus…Subaru se précipita près d’elle et l’a prit dans ses bras en lui caressant les cheveux.

    Akiko : *pleure toutes les larmes de son corps* J’AI MAAAHAAAALL … SUBARU J’AI MAL !

    Subaru : Tout va bien… C’est fini…

    Akiko : Subaruuuuuuuuu !!! huuuu~ !

    Subaru : Chhht…je t’aime…*sourit*

    Les autres séchèrent leurs larmes appart Suzuki qui s’effondra avec Ichiko les bras l’un de l’autre…

     

    Chapitre 17.

     

      

    Subaru releva Akiko et commença à marcher.

    Shizumasa : Nous devrions rentrer avant de nous faire prendre et puis c’est sûrement mieux… Vous êtes d’accord ?

    Tous : Hai !

    Au moment ou ils allaient tous partir, ils entendirent quelqu’un tousser très fortement sans pouvoir s’arrêter, lorsqu’ils se retournèrent ; c’était Akiko qui était sur le sol et qui vomissait du sang avec des spasmes et une toue incessante

    Yumi : Vite appelez quelqu’un ! Vite !!!

    Nagisa : AKIKO !!!

    Ichiko : C’est sûrement le pison, dépêchez-vous !

    Les ambulanciers arrivèrent assez vite et l’emmenèrent une fois de plus à l’hôpital… Toute la bande attendit jusqu’au soir dans la salle d’attente avantde pouvoir la voir.

    Médecin : Excusez nous mais avec les examens pour retirer le poison, les examens pour vérifier que tout était bon et les deux heures de surveillance cardiaque nous n’avions pas le temps de vous donnez de nouvelles ! Mademoiselle *cherche dans un calepin* Hinagawasa…Akiko ! Mademoiselle Hinagawasa Akiko va s’en sortir de peu ! Nous avons réussis à extraire le poison provenant d’un mélange complexe !

    Ichiko : C’était une tentative de suicide…

    Médecin : Oui… Je suis vraiment étonné qu’elle est tenue tout ce temps ! Avec une dose pareille elle aurait dût mourir dans les 24heure maximum après ingérassions, m’enfin bon, heureusement que ce n’était pas le cas ! Vous allez pouvoir aller la voir mais faites doucement s’il vous plaît.

    Tous : Haiii !

    Ils entrèrent tous dans la chambre, heureusement pour eux c’était une chambre avec elle seule dedans.

    Nao : Comment tu te sens ?

    Akiko : Beaucoup mieux merci !

    Yumi : Tu nous a vraiment fais peur ! Tu n’as pas intérêt à recommencer !

    Akiko : Promis ! A vrai dire…Quand je vous est tous vu en face de moi je me suis rappelé que je n’étais plus toute seule… Quand j’allais mal j’ai oublié que j’avais des amis formidables sur qui compter ainsi que mon frère… Arigatõ gozaimasu minna !

    Subaru : *ris* Excusez-moi mais est-ce que je pourrais rester seule avec elle ?

    Tous sauf lui : Haiii !

    Subaru, qui maintenant seule avec Akiko, s’asseyait sur le lit face à elle et lui prit les mains. Akiko, elle, se redressa pour être assise face à lui. Ils avaient tous les deux le cœur qui battait à 100 à l’heure…

    Subaru : Je te pris de bien vouloir me pardonner…

    Akiko : C’est déjà oublié ! *ris* Et toi ? Tu me pardonne ?

    Subaru : *ris* Bien sûr !

    Il l’a pris dans ses bras quelques secondes avant de se décollés.

    Subaru : Est-ce que… *hum* Est-ce que tu veux sortir avec moi…à nouveau ?

    Akiko : Oui ! :3

     

    Chapitre 17.

     

    Ils s’embrassèrent quelques secondes avant que les autres revinrent. Dans la semaine qui suis, personnes est allé en cours. Ils restaient tous les jours tous ensembles pour resserrer les liens…

    Shizumasa : Eh Akiko ! N'oublis notre promesse hein !

     

    […]

     

    Note :

    Jisatsu = Suicide.

    Baka = Idiot/Imbécile.

    Onee-chan = Grande-soeur.

    Imouto-san = Petite soeur.

    Arigatõ (Gozaimasu) minna = Merci (beaucoup) tout le monde.


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  • Chapitre 18.

    Yakusoku & Manhanto

    [Générique du chapitre.]

    La semaine passa vite et tout était nouveau comme avant. Les amis durent retourner en cours rapidement pour ne pas avoir d’ennuis… Ce matin là, ils se réunirent tous devant l’établissement pour parler de la période d’examens. C’est vrai que c’était bientôt la fin de l’année et le collège, ayant pris du retard, avait organisé tous les événements dans la même période.  Il y avait le cross pour les fonds de l’association, le brevet, les activités diverses de sport d’étés et enfin le voyage qu’ils avaient tous prévus entre eux avant d’intégrer le lycée pour certains.

    Nagisa : Désolée les amis mais je ne pourrait pas être la à la sortie du procès, mes parents veulent que je bosse pour le brevet à fond, ils ont même prévus de me surveiller deux fois plus !

    Suzuki : Whua, vraiment pas de chances ! Mais bon, vu que tu as passé ton année à jouer à tes jeux et sortir… Tes parents doivent sûrement s’inquiéter pour ton avenir ! *ris*

    Nagisa : Oui… C’est nul !!!

    Mikuru : Moi mon père veux que j’aille travailler chez lui en stage pendant deux ou trois semaine mais… Je ne suis pas sûr d’avoir envie d’y aller !

    Nao : En quoi travail ton père ?

    Mikuru : Dans l’économique, rien de très passionnant !

    Nao : *ris* En effet ! Je ne sais pas quel lycée choisir, ça m’éneeerve !

    Shizumasa : Moi aussi ça m’embêtais ! Tu n’a qu’a faire comme moi, arrêter les cours et travailler.

    Kota : Sauf toi tu glande plus que tu ne travail !

    Ils éclatèrent tous de rire. La bonne humeur était revenue et tout paraissait plutôt calme. De plus il faisait si beau dehors et si chaud…

    Subaru : Vous avez déjà choisis une lycée vous deux ??

    Ichiko : Enfaite… Nous n’allons pas au lycée nous…

    Akiko : Nous sommes trop jeunes alors nous allons refaire une année avant d’aller au lycée, c’est le proviseur qui l’a décidé !

    Suzuki : Oooooh nooon ! Je voulais vous avoir dans mon lycée ! :c

    Ichiko : *ris* Ne t’en fais pas, on se verra tous en dehors n’est-ce pas ?

    Tous : Haaaaaaiiii~ !

    Yumi : Vu l’heure, on devrait se dépêcher de rentrer ! *ris*

    Shizumasa : Bon, je vais vous laissez alors ! A tout à l’heure et n’oubliez pas ! Ce soir c’est sortie !

    Tous sauf Akiko : YAY !

    Akiko : //Une sortie ? Quelle sortie ?!// A tout à l’heure Shizumasa-kun !

    Ils entrèrent dans l’établissement assez pressés, la sonnerie avait déjà retentie et la plupart des classes était déjà en train de travailler. Alors qu’ils courraient dans les couloirs, ils croisèrent la CPE.

    CPE : POURQUOI VOUS N’ETES PAS EN CLASSE ?

    Suzuki : Nous sommes arrivées en retard !

    CPE : TOUS ENSEMBLE ?! VOUS VOUS FOUTEZ DE MA GUEULE ?!

    Yumi : Non mais enfaite…On fait du covoiturage ! Le grand frère de Chõjo-san nous emmène en voitures, ça pollue moins…

    CPE : JE M’EN FICHE ! CHEZ LE PROVISEUR IMMEDIATEMENT !!!

    Ils marchèrent tous la tête baissée vers le bureau de proviseur. Ils étaient devant la porte mais aucuns d’entre eux n’osait toquer. Au moment ou ils allaient repartir, le proviseur ouvre la porte de son bureau.

    Proviseur : ENCORE VOUS ?! NE ME DITES PAS QUE VOUS AVEZ ENCORE FAIT INFRACTION AU REGLEMENT !?!?

    Kota : Non monsieur, nous sommes arrivés en retard…

     

     

    Proviseur : Hm Hm… Entrez dans mon bureau s’il vous plaît.

    Ils entrèrent et s’installèrent. Le proviseur reçus un appel de la CPE qui s’était rappelé que la bande n’était pas venue depuis une semaine. Une fois l’appel terminé, il regarda les enfants méchamment et ils avaient de quoi avoir peur car avec lui on ne savait jamais ce qu’il allait se passer.

    Proviseur : Je vois…Vous êtes irrécupérables. Pourquoi n’êtes vous pas venu ?

    Ichiko : Ma sœur à eue quelques problème et euh… On devait rester avec elle.

    Proviseur : m’enfin vous êtes 9 !  C’est suffisant  tout seul non ?!

    Yumi : Oui mais euh…On se reliait…

    Proviseur : Bon je vois… Je vais laisser passer cette fois, compris ? Mais taché de ne plus sécher les cours.

    Tous : Arigatõ Gozaimasu…

    Ils sortirent du bureau et allèrent en classe… C’était l’heure de la pause. Shizumasa était rentré dans la cours pour parler avec eux discrètement.

    Shizumasa : On va bien s’amuser ce soir !

    Nao : Ouii :3

    Suzuki : Il faudra sûrement sortir après minuit, sinon on risquerai de se faire chopper…

    Ichiko : Oui mais on ne peut pas rentrer trop tard car demain c’est une longue journée entre les cours et les entrainements !

    Akiko : Mais quoi vous parlez ?!

    Yumi : Bah de la sortie de se soir !

    Nagisa : Entre minuit et trois heures du matin ça me paraît pas mal !

    Mikuru : Je croyais que tes parents te surveillaient ?

    Nagisa : C’est le cas mais bon, il ne vienne pas dans ma chambre la nuit.

    Akiko : Mais c’est quoi cette sortie ?!

    Kota : Nous on est pas sûr de venir !

    Subaru : Ouais, on n’est pas des démons.

    Mikuru : Moi non plus mais je viens quand même ! Aller venez ce sera marrant ! :3

    Akiko : DE QUOI VOUS PARLEEEEZ ?!

    Suzuki : Manhanto !

    Akiko : HUH ?!

    Shizumasa : Bah oui ! Tu te rappel de la promesse que je t’avais faite sur le bout de papier ? « […] une grande chasse à l’homme toute la nuit […] »

    Akiko : C’est vrai ?! On bva vraiment le faire ?! *grand sourire*

    Yumi : Oui ! Ca fait longtemps qu’on a tué personne alors… On se rattrape ce soir !

     

     

    Akiko : C’est génial :3 ! Mais… Subaru, Kota et Mikuru ?!

    Mikuru : Comme j’ai dit, moi je viens quand même ! On ne sait jamais et puis même si je suis un démon blanc, tant que je ne tue personne je pourrais toujours élaborer les plans ! *ris*

    Kota : Moi je ne sais pas encore si je vais venir mais ça me tente bien !

    Akiko : Vous qui vomissez dès qu’il y a un cadavre, je ne sais pas si c’est une bonne idée pour vous !  *ris*

    Subaru : Ehhh ! Tu sais on est plus des mauviettes, on à appris à vivre avec la mort autour de nous depuis qu’on vous connait ! Puis on a été « vacciné » lorsque Kota et Yumi nous on enlevé.

    Akiko : Pas faux ! Mais dans ce cas vous venez :3 ! *embrasse Subaru*

    Subaru : Hhhhmmmmm…C’est bon pour moi !

    Kota : Si mon meilleur pote y va je ne peux pas rester tout seul chez moi !

    Shizumasa : Génial, on sera tous ensemble alors !

    Yumi : Oui… Si ca ne vous dérange pas je viendrai plu tard m’entrainer avec vous demain, Yuka veux que j’aille avec elle au magasin et vu que je viens de la retrouver je ne pas vraiment lui dire non, vous comprendrez ?

    Ichiko : Bien sûr qu’on comprend, ne t’en fais surtout pas pour ça !

    Nao : Ca va pas tardez a sonner ! Onii-chan, tu devrais vite t’en aller !

    Shizumasa : Oh déjà ?! C’était court ! Bon bah à ce soir alors, a pluuuuus ! *part*

    Ils retournèrent en cours. L’après midi avait été extrêmement calme par rapport à d’habitude. Les élèves étaient tous sonné par la chaleur plombant.

    [Chez Nao.] 

     

    Nao était coucher sur le sol et regardai le plafond.

    Shizumasa : Qu’est-ce que tu fais par terre ?

    Nao : J’ai chauuuuuuuuud… et le sol lui il est froiiiiiiiiid… *-*

    Shizumasa : Hm…Ok.

    Mère : Je suis rentré ! Alors, il fait chaud aujourd’hui n’est-ce pas ?

    Nao : Trooop chauuud…

    Mère : *ris* Au fait ! J’ai croisé le père de Kota, nous avons discuté de votre ami hm… Suvaru…Suboro...

    Shizumasa : Sabaru, maman.

    Mère : Ah oui ! C’est vraiment un bourrin ce garçon !

    Nao : N’IMPORTE QUOI !

    Mère : Oooh, c’est bno, quest-ce qu’il t’arrive, il te plaît ce garçon ?!

    Nao : *rougis* QUOI ?! NON !

    Shizumasa : Nooooon ! J’y croix paaas ! :O

    Nao : Non non non ! Il ne me plaît pas du tout ! *se lève et claque la porte de sa chambre*

     

     

    Mère : Il lui plaîîîît ! C’est mignon…

    Shizumasa : Ca le serai si il était libre mais non, il sort avec l’une de nos meilleures amies.

    Mère : Ah bon ? Quelque part tant mieux, avec ce procès il ne m’attire pas confiance !

    Shizumasa : Mais comment cela ce fait que tu es pu parler d’une chose aussi discrète avec lui ? Ce qu’il ce passe là-bas n’ets pas un peu comme un secret médical ?

     

     

    Mère : Si si ! Mais… Hum… Disons que comme je travaille aussi en soignant les prisonniers eh bien je fais parti du secret professionnel comme tu dis.

    Shizumasa : How…

    Mère : Dans tout les cas il ne m’attire pas confiance ce jeune homme. Sa petite amie devrait se méfier, vu ce qu’il à fait la première fois !

    Shizumasa : Nous ne sommes sûr de rien maman ! Après tout Akiko à sûrement réagis excessivement, elle le dit elle m’aime qu’elle s’est emballée !

    Mère : On verra après le procès. *bisou sur le front à son fils*

    [Quartier Nord ; Subaru et Akiko.]

    Tous les deux étaient assis sur les trottoirs en attendant les autres. Ichiko était partie chercher Suzuki. Après plusieurs minutes de silence, Akiko posa sa tête sur l’épaule de Subaru et Subaru sa tête sur celle de sa copine.

    Akiko : Dans 2 jours il y a le procès… Ca fait peur…

    Subaru : Oui… *croise ses doigt dans la main d’Akiko*  Mais nous sommes fort tous les deux !

    Akiko : Oui, ils ne pourront jamais t’accuser si je ne suis plus d’accord avec mon propre témoignage...

    Subaru : Je sais… *ris*

     

     

    Akiko : Tu trouves ça drôle…?

    Subaru : Non mais je me disais… « Whoua, malgré toutes ses aventures on est toujours ensemble ! » *sourit*

    Akiko : Ca t’étonnes ? Grrr.

    Subaru : Non ! *embrasse*

    Ichiko : Aaaark ! TT-TT

    Akiko : Urusai ! Tu ne dis pas ça quand Suzuki t’embrasse ! *tire la langue*

    Ichiko : Gniah gniah gniah ! *tire aussi*

    Suzuki : *ris* on dirait des enfants !

    Yumi : Ce sont des enfants !

    Nagisa : ON EST LAAAAAA !!! :3

    Mikuru : Konbanwa minna !

    Akiko : Coucou ! Ah!! NAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAO ON EST LAAA!!!

    Nao : UUUUH ! On vous à cherché pendant 10 minutes !

    Shizumasa : Alors on commence par ou ?!

    Subaru : Attendez, il manque Kota !

    Nao : Subaru-kun ! Konbanwa ! Bon…Il est ou ce gros plein de soupe ?!

    Kota : Il est là (-o-‘) !

    Nao : Oups !  Je t’adore !  *ris*

    Ils se levèrent et se mirent en route pour les quartiers sombres de la ville. Ils décidèrent de faire un petit jeu ; le groupe qui ramènera la plus de tête arrachée aura gagné ! Les groupes étaient constitués de deux ou trois personnes !

    Akiko : Bien ! Choisissez votre partenaire !

     

     

    Ichiko : Suzuki !

    Nagisa : Mikuru !

    Shizumasa : Nao !

    Kota : Yumi !

    Subaru : Akiko !

    Akiko : Bien alors on peut commencer ! Vous avez le droit d’entrer dans les maisons, les ruelles et bien sûr dans les endroits publics mais à l’écart ! Concernant le type de tête c’est tout ce que vous voulez sauf animal.

    Tous : Hai !

    Une fois les règles en place et les équipes officialisées, tous partirent chercher des victimes. Ichiko et Suzuki étaient en face d’une maison…

    Ichiko : Tu te rappel de cette maison ?

    Suzuki : C’est celle du grand père ?

    Ichiko : Effectivement ! Les enfants de la vieille vive dedans eux aussi maintenant !

     

     

    Suzuki : Génial, on va bien s’amuser ! *ris*

    Ichiko : Eh oui ! D’autant plus que ce sont trois adultes et donc trois têtes. De plus je vais pouvoir t’aider dans ton apprentissage. Tu es prête ?

    Suzuki : Je suis toujours prête !

    Ichiko prit la main de Suzuki et l’a tira jusqu’à derrière la maison. Dans le jardin, sur cette face de la bâtisse, se trouvait la porte de derrière. Une grande porte grise et vieille voir rouillée qui ferait sûrement du bruit en l’ouvrant. Ichiko eut l’idée d’ouvrir la porte en faisant le plus de bruit possible et de rentrer la fenêtre d’une autre pièce pendant que les adultes allaient ouvrir. Vu qu’il n’y avait personne à la porte, les habitants faisaient exactement ce que voulait Ichiko ; Stresser.

    Femme : Pourtant il n’y a pas de vent…

    Homme : Ne t’en fais pas c’est sûrement la porte qui devient trop vieille, c’était comme ça chez moi avant !

    Femme 2 : Oui sûrement mais… Je ne le sens pas trop non plus !

    Homme : Il n’y a personne dans cette maison !Restez là, je vais nous chercher à boire,  qu’est-ce que vous voulez ?

    Femme : De l’eau…

    Femme 2 : Thé glacé !

    Grand-mère : Du théé…

    L’homme se rendit dans la cuisine, il regardait par terre ne se doutaitt de rien. En levant la tête pour regarder la fenêtre il bu ses jeunes jeunes adolescent dans sa cuisine.

    Homme : Je peux vous aidez ?

    Suzuki : Chhht...

     

     

    Suzuki fonça sur lui, elle le plaqua contre le mur et planta ses croc dans sa nuque en lui tenant les poignets. L’homme usât ses dernière force pour pousser un cri de douleur arrivant jusqu’au salon.

    Femme : QU’EST-CE QUE C’ETAIT ?!

    Femme 2 : Je vais voir !

    Elle entra dans la cuisine mais il n’y avait personne, d’un coup elle senti quelque chose sous son pied, en baissant la tête elle vu le corps de son frère mort dans le sang par terre. Alors qu’elle allait crier, Ichiko arriva au derrière elle et lui coupa la tête d’un trait.

    Ichiko : Malheureusement, pas le temps pour la torture.

    Les deux allèrent dans le salon avec la tête de la deuxième sœur dans la main, tenu par les cheveux.

    Suzuki : Alors ? A qui le tour ? *sourit*

    Ichiko ferma toutes les issues. Et se jeta sur la femme pour l’immobiliser. Suzuki lui but tout le sang avant de lui couper la tête d’un coup sec. Ils se retournèrent vers la grand-mère qui tremblait de tout son corps.

    Grand-mère : Vous êtes…Vous-êtes les jeunes bénévoles de l’autre fois !! Qu’est-ce que vous me voulez ?!?! Prenez tout mon argent !!!

    Suzuki : TA GUEULE TU VAS CREVEEEEEEER !!!

    Grand-mère : N…O…NH…GH… *ferme les yeux*

    Suzuki : Bah qu’est-ce qu’elle a…?

    Ichiko : *va sentir son poult* Elle est morte…Sûrement d’un arrêt cardiaque.

    Suzuki : Ooooh nooon ! Fait chier quoi ! L 

    Ichiko : *coupe la tête* Oui, mais au moins nous avons quatre têtes !

    Note :

    Yakusoku = Promesse.

    Manhanto = Chasse à l'Homme.

    Onii-san = Grand-frère.

    Konbanwa (minna) = Bonsoir (tout le monde).

     


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  • Chapitre 18.

    Yakusoku & Manhanto

    https://www.youtube.com/watch?v=EBGeH6Bl4Uw

    La semaine passa vite et tout était nouveau comme avant. Les amis durent retourner en cours rapidement pour ne pas avoir d’ennuis… Ce matin là, ils se réunirent tous devant l’établissement pour parler de la période d’examens. C’est vrai que c’était bientôt la fin de l’année et le collège, ayant pris du retard, avait organisé tous les événements dans la même période.  Il y avait le cross pour les fonds de l’association, le brevet, les activités diverses de sport d’étés et enfin le voyage qu’ils avaient tous prévus entre eux avant d’intégrer le lycée pour certains.

    Nagisa : Désolée les amis mais je ne pourrait pas être la à la sortie du procès, mes parents veulent que je bosse pour le brevet à fond, ils ont même prévus de me surveiller deux fois plus !

    Suzuki : Whua, vraiment pas de chances ! Mais bon, vu que tu as passé ton année à jouer à tes jeux et sortir… Tes parents doivent sûrement s’inquiéter pour ton avenir ! *ris*

    Nagisa : Oui… C’est nul !!!

    Mikuru : Moi mon père veux que j’aille travailler chez lui en stage pendant deux ou trois semaine mais… Je ne suis pas sûr d’avoir envie d’y aller !

    Nao : En quoi travail ton père ?

    Mikuru : Dans l’économique, rien de très passionnant !

    Nao : *ris* En effet ! Je ne sais pas quel lycée choisir, ça m’éneeerve !

    Shizumasa : Moi aussi ça m’embêtais ! Tu n’a qu’a faire comme moi, arrêter les cours et travailler.

    Kota : Sauf toi tu glande plus que tu ne travail !

    Ils éclatèrent tous de rire. La bonne humeur était revenue et tout paraissait plutôt calme. De plus il faisait si beau dehors et si chaud…

    Subaru : Vous avez déjà choisis une lycée vous deux ??

    Ichiko : Enfaite… Nous n’allons pas au lycée nous…

    Akiko : Nous sommes trop jeunes alors nous allons refaire une année avant d’aller au lycée, c’est le proviseur qui l’a décidé !

    Suzuki : Oooooh nooon ! Je voulais vous avoir dans mon lycée ! :c

    Ichiko : *ris* Ne t’en fais pas, on se verra tous en dehors n’est-ce pas ?

    Tous : Haaaaaaiiii~ !

    Yumi : Vu l’heure, on devrait se dépêcher de rentrer ! *ris*

    Shizumasa : Bon, je vais vous laissez alors ! A tout à l’heure et n’oubliez pas ! Ce soir c’est sortie !

    Tous sauf Akiko : YAY !

    Akiko : //Une sortie ? Quelle sortie ?!// A tout à l’heure Shizumasa-kun !

    Ils entrèrent dans l’établissement assez pressés, la sonnerie avait déjà retentie et la plupart des classes était déjà en train de travailler. Alors qu’ils courraient dans les couloirs, ils croisèrent la CPE.

    CPE : POURQUOI VOUS N’ETES PAS EN CLASSE ?

    Suzuki : Nous sommes arrivées en retard !

    CPE : TOUS ENSEMBLE ?! VOUS VOUS FOUTEZ DE MA GUEULE ?!

    Yumi : Non mais enfaite…On fait du covoiturage ! Le grand frère de Chõjo-san nous emmène en voitures, ça pollue moins…

    CPE : JE M’EN FICHE ! CHEZ LE PROVISEUR IMMEDIATEMENT !!!

    Ils marchèrent tous la tête baissée vers le bureau de proviseur. Ils étaient devant la porte mais aucuns d’entre eux n’osait toquer. Au moment ou ils allaient repartir, le proviseur ouvre la porte de son bureau.

    Proviseur : ENCORE VOUS ?! NE ME DITES PAS QUE VOUS AVEZ ENCORE FAIT INFRACTION AU REGLEMENT !?!?

    Kota : Non monsieur, nous sommes arrivés en retard…

    Proviseur : Hm Hm… Entrez dans mon bureau s’il vous plaît.

    Ils entrèrent et s’installèrent. Le proviseur reçus un appel de la CPE qui s’était rappelé que la bande n’était pas venue depuis une semaine. Une fois l’appel terminé, il regarda les enfants méchamment et ils avaient de quoi avoir peur car avec lui on ne savait jamais ce qu’il allait se passer.

    Proviseur : Je vois…Vous êtes irrécupérables. Pourquoi n’êtes vous pas venu ?

    Ichiko : Ma sœur à eue quelques problème et euh… On devait rester avec elle.

    Proviseur : m’enfin vous êtes 9 !  C’est suffisant  tout seul non ?!

    Yumi : Oui mais euh…On se reliait…

    Proviseur : Bon je vois… Je vais laisser passer cette fois, compris ? Mais taché de ne plus sécher les cours.

    Tous : Arigatõ Gozaimasu…

    Ils sortirent du bureau et allèrent en classe… C’était l’heure de la pause. Shizumasa était rentré dans la cours pour parler avec eux discrètement.

    Shizumasa : On va bien s’amuser ce soir !

    Nao : Ouii :3

    Suzuki : Il faudra sûrement sortir après minuit, sinon on risquerai de se faire chopper…

    Ichiko : Oui mais on ne peut pas rentrer trop tard car demain c’est une longue journée entre les cours et les entrainements !

    Akiko : Mais quoi vous parlez ?!

    Yumi : Bah de la sortie de se soir !

    Nagisa : Entre minuit et trois heures du matin ça me paraît pas mal !

    Mikuru : Je croyais que tes parents te surveillaient ?

    Nagisa : C’est le cas mais bon, il ne vienne pas dans ma chambre la nuit.

    Akiko : Mais c’est quoi cette sortie ?!

    Kota : Nous on est pas sûr de venir !

    Subaru : Ouais, on n’est pas des démons.

    Mikuru : Moi non plus mais je viens quand même ! Aller venez ce sera marrant ! :3

    Akiko : DE QUOI VOUS PARLEEEEZ ?!

    Suzuki : Manhanto !

    Akiko : HUH ?!

    Shizumasa : Bah oui ! Tu te rappel de la promesse que je t’avais faite sur le bout de papier ? « […] une grande chasse à l’homme toute la nuit […] »

    Akiko : C’est vrai ?! On bva vraiment le faire ?! *grand sourire*

    Yumi : Oui ! Ca fait longtemps qu’on a tué personne alors… On se rattrape ce soir !

    Akiko : C’est génial :3 ! Mais… Subaru, Kota et Mikuru ?!

    Mikuru : Comme j’ai dit, moi je viens quand même ! On ne sait jamais et puis même si je suis un démon blanc, tant que je ne tue personne je pourrais toujours élaborer les plans ! *ris*

    Kota : Moi je ne sais pas encore si je vais venir mais ça me tente bien !

    Akiko : Vous qui vomissez dès qu’il y a un cadavre, je ne sais pas si c’est une bonne idée pour vous !  *ris*

    Subaru : Ehhh ! Tu sais on est plus des mauviettes, on à appris à vivre avec la mort autour de nous depuis qu’on vous connait ! Puis on a été « vacciné » lorsque Kota et Yumi nous on enlevé.

    Akiko : Pas faux ! Mais dans ce cas vous venez :3 ! *embrasse Subaru*

    Subaru : Hhhhmmmmm…C’est bon pour moi !

    Kota : Si mon meilleur pote y va je ne peux pas rester tout seul chez moi !

    Shizumasa : Génial, on sera tous ensemble alors !

    Yumi : Oui… Si ca ne vous dérange pas je viendrai plu tard m’entrainer avec vous demain, Yuka veux que j’aille avec elle au magasin et vu que je viens de la retrouver je ne pas vraiment lui dire non, vous comprendrez ?

    Ichiko : Bien sûr qu’on comprend, ne t’en fais surtout pas pour ça !

    Nao : Ca va pas tardez a sonner ! Onii-chan, tu devrais vite t’en aller !

    Shizumasa : Oh déjà ?! C’était court ! Bon bah à ce soir alors, a pluuuuus ! *part*

    Ils retournèrent en cours. L’après midi avait été extrêmement calme par rapport à d’habitude. Les élèves étaient tous sonné par la chaleur plombant.

    [Chez Nao.] 

     

    Nao était coucher sur le sol et regardai le plafond.

    Shizumasa : Qu’est-ce que tu fais par terre ?

    Nao : J’ai chauuuuuuuuud… et le sol lui il est froiiiiiiiiid… *-*

    Shizumasa : Hm…Ok.

    Mère : Je suis rentré ! Alors, il fait chaud aujourd’hui n’est-ce pas ?

    Nao : Trooop chauuud…

    Mère : *ris* Au fait ! J’ai croisé le père de Kota, nous avons discuté de votre ami hm… Suvaru…Suboro...

    Shizumasa : Sabaru, maman.

    Mère : Ah oui ! C’est vraiment un bourrin ce garçon !

    Nao : N’IMPORTE QUOI !

    Mère : Oooh, c’est bno, quest-ce qu’il t’arrive, il te plaît ce garçon ?!

    Nao : *rougis* QUOI ?! NON !

    Shizumasa : Nooooon ! J’y croix paaas ! :O

    Nao : Non non non ! Il ne me plaît pas du tout ! *se lève et claque la porte de sa chambre*

    Mère : Il lui plaîîîît ! C’est mignon…

    Shizumasa : Ca le serai si il était libre mais non, il sort avec l’une de nos meilleures amies.

    Mère : Ah bon ? Quelque part tant mieux, avec ce procès il ne m’attire pas confiance !

    Shizumasa : Mais comment cela ce fait que tu es pu parler d’une chose aussi discrète avec lui ? Ce qu’il ce passe là-bas n’ets pas un peu comme un secret médical ?

    Mère : Si si ! Mais… Hum… Disons que comme je travaille aussi en soignant les prisonniers eh bien je fais parti du secret professionnel comme tu dis.

    Shizumasa : How…

    Mère : Dans tout les cas il ne m’attire pas confiance ce jeune homme. Sa petite amie devrait se méfier, vu ce qu’il à fait la première fois !

    Shizumasa : Nous ne sommes sûr de rien maman ! Après tout Akiko à sûrement réagis excessivement, elle le dit elle m’aime qu’elle s’est emballée !

    Mère : On verra après le procès. *bisou sur le front à son fils*

    [Quartier Nord ; Subaru et Akiko.]

    Tous les deux étaient assis sur les trottoirs en attendant les autres. Ichiko était partie chercher Suzuki. Après plusieurs minutes de silence, Akiko posa sa tête sur l’épaule de Subaru et Subaru sa tête sur celle de sa copine.

    Akiko : Dans 2 jours il y a le procès… Ca fait peur…

    Subaru : Oui… *croise ses doigt dans la main d’Akiko*  Mais nous sommes fort tous les deux !

    Akiko : Oui, ils ne pourront jamais t’accuser si je ne suis plus d’accord avec mon propre témoignage...

    Subaru : Je sais… *ris*

    Akiko : Tu trouves ça drôle…?

    Subaru : Non mais je me disais… « Whoua, malgré toutes ses aventures on est toujours ensemble ! » *sourit*

    Akiko : Ca t’étonnes ? Grrr.

    Subaru : Non ! *embrasse*

    Ichiko : Aaaark ! TT-TT

    Akiko : Urusai ! Tu ne dis pas ça quand Suzuki t’embrasse ! *tire la langue*

    Ichiko : Gniah gniah gniah ! *tire aussi*

    Suzuki : *ris* on dirait des enfants !

    Yumi : Ce sont des enfants !

    Nagisa : ON EST LAAAAAA !!! :3

    Mikuru : Konbanwa minna !

    Akiko : Coucou ! Ah!! NAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAO ON EST LAAA!!!

    Nao : UUUUH ! On vous à cherché pendant 10 minutes !

    Shizumasa : Alors on commence par ou ?!

    Subaru : Attendez, il manque Kota !

    Nao : Subaru-kun ! Konbanwa ! Bon…Il est ou ce gros plein de soupe ?!

    Kota : Il est là (-o-‘) !

    Nao : Oups !  Je t’adore !  *ris*

    Ils se levèrent et se mirent en route pour les quartiers sombres de la ville. Ils décidèrent de faire un petit jeu ; le groupe qui ramènera la plus de tête arrachée aura gagné ! Les groupes étaient constitués de deux ou trois personnes !

    Akiko : Bien ! Choisissez votre partenaire !

    Ichiko : Suzuki !

    Nagisa : Mikuru !

    Shizumasa : Nao !

    Kota : Yumi !

    Subaru : Akiko !

    Akiko : Bien alors on peut commencer ! Vous avez le droit d’entrer dans les maisons, les ruelles et bien sûr dans les endroits publics mais à l’écart ! Concernant le type de tête c’est tout ce que vous voulez sauf animal.

    Tous : Hai !

    Une fois les règles en place et les équipes officialisées, tous partirent chercher des victimes. Ichiko et Suzuki étaient en face d’une maison…

    Ichiko : Tu te rappel de cette maison ?

    Suzuki : C’est celle du grand père ?

    Ichiko : Effectivement ! Les enfants de la vieille vive dedans eux aussi maintenant !

    Suzuki : Génial, on va bien s’amuser ! *ris*

    Ichiko : Eh oui ! D’autant plus que ce sont trois adultes et donc trois têtes. De plus je vais pouvoir t’aider dans ton apprentissage. Tu es prête ?

    Suzuki : Je suis toujours prête !

    Ichiko prit la main de Suzuki et l’a tira jusqu’à derrière la maison. Dans le jardin, sur cette face de la bâtisse, se trouvait la porte de derrière. Une grande porte grise et vieille voir rouillée qui ferait sûrement du bruit en l’ouvrant. Ichiko eut l’idée d’ouvrir la porte en faisant le plus de bruit possible et de rentrer la fenêtre d’une autre pièce pendant que les adultes allaient ouvrir. Vu qu’il n’y avait personne à la porte, les habitants faisaient exactement ce que voulait Ichiko ; Stresser.

    Femme : Pourtant il n’y a pas de vent…

    Homme : Ne t’en fais pas c’est sûrement la porte qui devient trop vieille, c’était comme ça chez moi avant !

    Femme 2 : Oui sûrement mais… Je ne le sens pas trop non plus !

    Homme : Il n’y a personne dans cette maison !Restez là, je vais nous chercher à boire,  qu’est-ce que vous voulez ?

    Femme : De l’eau…

    Femme 2 : Thé glacé !

    Grand-mère : Du théé…

    L’homme se rendit dans la cuisine, il regardait par terre ne se doutaitt de rien. En levant la tête pour regarder la fenêtre il bu ses jeunes jeunes adolescent dans sa cuisine.

    Homme : Je peux vous aidez ?

    Suzuki : Oui ! HAHAHAHAAA !!!

    Suzuki fonça sur lui, elle le plaqua contre le mur et planta ses croc dans sa nuque en lui tenant les poignets. L’homme usât ses dernière force pour pousser un cri de douleur arrivant jusqu’au salon.

    Femme : QU’EST-CE QUE C’ETAIT ?!

    Femme 2 : Je vais voir !

    Elle entra dans la cuisine mais il n’y avait personne, d’un coup elle senti quelque chose sous son pied, en baissant la tête elle vu le corps de son frère mort dans le sang par terre. Alors qu’elle allait crier, Ichiko arriva au derrière elle et lui coupa la tête d’un trait.

     

    Chapitre 18.

     

    Ichiko : Malheureusement, pas le temps pour la torture.

    Les deux allèrent dans le salon avec la tête de la deuxième sœur dans la main, tenu par les cheveux.

    Suzuki : Alors ? A qui le tour ? *sourit*

    Ichiko ferma toutes les issues. Et se jeta sur la femme pour l’immobiliser. Suzuki lui but tout le sang avant de lui couper la tête d’un coup sec. Ils se retournèrent vers la grand-mère qui tremblait de tout son corps.

    Grand-mère : Vous êtes…Vous-êtes les jeunes bénévoles de l’autre fois !! Qu’est-ce que vous me voulez ?!?! Prenez tout mon argent !!!

    Suzuki : TA GUEULE TU VAS CREVEEEEEEER !!!

    Grand-mère : N…O…NH…GH… *ferme les yeux*

    Suzuki : Bah qu’est-ce qu’elle a…?

    Ichiko : *va sentir son poult* Elle est morte…Sûrement d’un arrêt cardiaque.

    Suzuki : Ooooh nooon ! Fait chier quoi ! L 

    Ichiko : *coupe la tête* Oui, mais au moins nous avons quatre têtes !

    Après ça, ils continuèrent leur chasse.

    Non loin de là,  Shizumasa et Nao chassaient eux aussi ! Il les vidait de tout leur sang jusqu’à qu’il n’en restait plus une goûte laissant place à sa sœur pour manger et couper les têtes. Ils laissaient derrière eux une 10ène de cadavre sans tête au sol.

    Nao : Bon ! C’est à moi de tuer maintenant !

    Shizumasa : D’accord, prend cette jeune femme là-bas mais reste tapis dans l’ombre pour l’instant et attend que son mari sois parti.

    Nao : Mais oui ne t'en fais pas ! Ce ne sera qu'une victime en plus !

    Nao se cacha derrière un muret et attendît que la femme se retrouve seule et fragile dans la rue sombre. Elle couru derrière la femme qui se retourna entendant tout se bruit et l’assomma, une fois la victime à terre, Nao qui était n démon pur attendit qu’elle se réveille.

    Nao : Alors on a bien dormit ? *ris*

    Femme : Qui…Qui êtes vous ?!

    Nao : Ta faucheuse ! Hahahahaa !

      

    Elle se leva et couru vers un arbre, monta dedans et pris une branche d’arbre. La jeune femme regardait partout autour d’elle complètement paniquée et pétrifiée. Nao s’avança vers, la força à ouvrir la bouche et lui enfonça la branche au plus profond de la gorge.

    Nao : Tu te débats encore pauvre femme ? Tu es très persistante ! Si tu n’avais pas été humaine je t’aurai bien pris sous mon aile mais malheureusement il ne peut y avoir un démon de plus sur cette planète. Tu devrais garder tes forces pour accéder au paradis car avant ça… *plante un couteau dans le cœur de la femme*… Tu devras traverser l’enfer. *sourit*

     

    Chapitre 18.

     

    Shizumasa : Hahaha…Ma chère petite sœur, tu m’étonneras toujours.

    Nao : Je suis imprévisible comparé à toi ! *sourire mesquin*

    Shizumasa : Oublierais-tu que c’est moi, qui t’es tout appris ? *soupire* Ca me désespère de voir l’état de cette innocente créature. Tu ne m’as pas facilité la tache en lui enfonçant ce bois dans la gorge. Pour lui arracher la tête je vais devoir couper le bois et le ressortir, me salir les mains pour un simple concoure…Tu aurais pu penser à moi quand même !

    Nao : Cesse de te plaindre et tranche là ! *part*

    Shizumasa : A-Attends-moi !!!

    …Nagisa et Mikuru attendaient bien sagement sur un banc que quelqu’un d’intéressant passe par là. A cette heure-ci personne ne passait dans le parc…

    Nagisa : Ce n’est pas notre soir ! Mais je ne compte pas perdre si facilement sans ramener de tête !

    Mikuru : Tu as beaucoup de détermination pour ce genre de choses, en tout cas plus que pour tes devoirs !

    Nagisa : Hehehehe, pas faux ! ^^’

    Elles se levèrent et marchèrent un moment mais il n’y avait toujours personne. Alors qu’elles comptaient abandonner, des bruits se firent entendre dans la rue juste à côté. Nagisa et Mikuru s’y rendirent immédiatement et sans réfléchir Nagisa sauta sur le dos de l’homme qui essayait de ne pas perdre l’équilibre !  Il tomba sur le ventre avant de se retourner et de voir deux jeunes filles dont une aux cheveux rouge qui tenait un couteau de poche.

    Homme : Que…Que me voulez-vous ?! Je suis désolé mais je rentre chez moi après de long mois d’absence je…je n’es rien sur moi, je ne peux rien vous donner !!!

    Nagisa : Ta gueule. Tout ce que je désir c’est ta tête.

    Mikuru : Aaaaah je ne peux pas voir ça ! >.< *se retourne*

    Homme : QUOI ?! NON JE VOUS EN SUPPLIS ! J’AI UNE FEMME ET DES ENFANTS QUI M’ATTENDENT A LA MAISON !!!

    Nagisa : TA GUEULE !

    Elle courra sur lui et lui trancha la gorge. L’homme était dans l’ombre et à peine visible il était donc difficile de voir ou la tête avait atterris, Nagisa pris une lampe torche et s’avança près de l’homme. Mais alors qu’elle éclaircissait le corps avec sa lumière elle recula d’un coup et tomba au sol en tremblant. Elle mit sa tête entre ses jambe et se tenu la tête avec les mains en hurlant. Mikuru se retourna pour voir ce qu’il se passait.

    Mikuru : Nagisa ?!

    Nagisa : IIIIIEEEE !!! NON POURQUOI J’AI FAIT CA ?! POURQUOI ?!? PARDON ANIKI PARDON !!!

    Mikuru : Nagi…*se tourne vers le corps*

    Le cadavre encore frai était éclairé par la lampe torche qui était tombé au sol. Cet homme était habillé d’une façon que Nagisa connaissait bien ; c’était un militaire.

    Mikuru : …Un militaire…

    Elle s’avança vers cet homme. Nagisa était dans un état horrible, elle criait et pleurait implorant le pardon de son frère, convaincue qu’il l’avait vu du ciel… Mikuru pris la main du militaire et chanta sa douce chanson laissant s’échapper une belle lumière blanche de ses mains… Elle retourna auprès de son amour et la serra dans ses bras.

    Mikuru : Calme-toi Nagisa… Regarde le militaire, il est sur ses jambes, il est vivant… *sourit* Aniki te pardonnes.

    Nagisa : Vrai-Vraiment ?

    Mikuru : Oui… *sourit* Quand à toi, tu devrais fuir avant de te retrouver une autre fois parterre et cette fois-ci, je ne pourrais pas te sauver ! *regard méchant*

    Homme : Aaah…AAAAAAAAH ! *part en courant*

    Mikuru : Ca va Nagisa ?

    Nagisa : Oui ça va aller…

    Elles se levèrent et allèrent chercher d’autres victimes…Pendant ce temps Kota et Yumi se disputèrent sur les « tactique de meurtre ».

    Yumi : SI TU FAIS CA ON VA SE FAIRE REPERER !!!

    Kota : MAIS POURQUOI ?! C’EST PLUS RAPIDE DE LUI TRANCHER LA GORGE !!!

    Yumi : TAIES TOI TU N’Y CONNAIS RIEN L’HUMAIN !!!

    Kota : L’HUMAIN ?! ESPECE DE SANS COEUUUUR !!!

    ??? : Excusez-moi… ?

    Yumi & Kota : Heh …?

    Un petit garçon se tenait devant eux avec des larmes sur les joues, tout tremblant. Il avait les cheveux verts comme ses yeux et son bonnet lui couvrait le front en lui ramenant les cheveux en frange droite.

    Petit garçon : Ils veulent me tuer ! *pleure*

    Yumi : Qui ça ? :3

    Petite : Une petite fille au chevexux blond yeux bleu et un garçon aux cheveux bruns foncé !

    Kota : Petite fille ?...Elle avait la poitrine plate ?

    Petit & Yumi : HUH ?!...

    Kota : Héhé hm…*prend le petit garçon par la main* Tu es en sécurité avec nous !

    Ils prirent le petit garçon avec eux et allèrent chez Kota.es parents étaient sorties. Ils montèrent dans la chambre avant de fermer la porte à clé et de coincé l’enfant dans le coin de la chambre. Kota prit sa batte et fracassa violement le corps de l’enfant ne laissant que la tête. Ils la ramassèrent puis n’nettoyèrent la chambre avant de sortir à l’extérieur.

    Yumi : Tu m’épates. Tu as tué quelqu’un sans que je te le demande hein ? *ris* Tu sais que toi tu iras en  prison si tu te fais choper ?

    Kota : *sourire en coin*  Je sais mais tant que je suis avec vous il n’y a aucun risque, et puis ça m’a permis d’extraire ma colère et ma tristesse et faire le « deuille » de ma rupture *clin d’œil*

    Yumi : *ris* Tu as raison ! Enfin bref, allons à la recherche d’autre victimes :3 !

    …Dans la cave, Akiko avait attaché un homme sur un post de travail. L’homme hurlait de peur mais rien à faire, personne n’aurait pu l’aider. Akiko se tourna vers Subaru, elle voulait que ce dernier tue sa proie, elle voulait lui apprendre à tuer.

    Akiko : Dé-ca-pite-le.

    Subaru : Je…Je ne peux pas ! Ce…je n’aime pas ça ! Je suis humain !

    Akiko : On peut pousser n’importe quel humain ou être vivant à tuer. C’est très simple tu verras. *lui donne une hache*

    Subaru : I…Iie !

    Akiko : *yeux sans expression* Tu te trouves dans une ruelle presque abandonnée de tous appart des SDF. Il fait nuit, il est très tard ou très tôt le matin ; 3h30 plus exactement. Alors que tu marches parmi l’ambiance des plus froides, regardant les sans abris boire leur alcool pour tenir le choc, tu tombes nez à nez avec un homme. Un homme que tu reconnais bien, l’année dernière lors de la fête de l’O-bon, tu n’étais pas chez toi et quand tu es rentré tu avais retrouvé les corps de chaque membre de ta famille. Tu mère avait été égorgé, tes sœur violé et étranglées quand à ta mère, elle s’était donner la mort en se pendant car elle pensait que vous étiez tous morts même toi. Le pire c’est que cet homme devant toi était le meurtrier de ta famille…  Tu sens la rage t’envahir, tu veux VENGER TA FAMILLE !

    Subaru : AAAAAAAAAH ! CREEEVEEE !

    Subaru empoigna fortement la hache et coupa violement chacun des membres de l’homme en hurlant sa rage.

     

    Chapitre 18.

     

      

    Il fini par lui couper la tête… choqué, il lâcha la hache et tomba parterre sur le cul…

    Subaru : Je…Je l’es…tué… ? *ris* Non ce n’est pas…haha…ce n’est pas possible hein ? Hahaha…

    Akiko : *caresse la tête* Bravo. :3 Nous avons une tête. Ce n’est pas assez, lève-toi mon amour, nous avons d’autres tête à récolter. *sourit*

     

    Chapitre 18.

     

    Subaru : Tu as raison, mon cœur. *sourit*

    Subaru continua à suivre les conseils d’Akiko toute la nuit… Quelques heures plu tard, vers 5heure du matin, tous s’était réunis dans une ruelle, le soleil commençait à se lever et il fallait se dépêcher. Ils déballèrent chacun après leur tour les têtes de leur chasse nocturne.

    Shizumasa : Nous avons 8 têtes.

    Nagisa : Nous en avons 5 !

    Yumi : 2 ! Rien d’étonnant avec un humain Hahahaaa !

    Kota : Gniah gniah gniah e_e !

    Ichiko : 6 et une moitié ! *ris* C’est ça de mal viser !

    Akiko : Nous avons réussis à en récupérer 7 !  Donc bravo et Shizumasa et Nao qui sont nos grands gagnants pour cette chasse à l’Homme nocturne avec 8 têtes de cadavres ! Mais félicitations a Kota et Subaru qui ont réussis, ce soir, à tuer des gens pour la première fois ! Et bravo aux autres biens sûrs !

    Ils s’applaudissaient tous. Le moment était venu de rentrer car les cours n’attendent pas !

    […]

     


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  • ~Saibansho.

    [Kaito] 

    Ce matin là, il faisait frais, en tout cas plus que les autres matinées de la semaine. Dans le ciel il y avait des nuages sombres, on craignait même qu’il y est de la pluie mais pour tout dire… Le temps correspondait au moral des enfants. Ils avaient tous la boule au ventre, se tenant assis sur des chaises en bois dur dans un couloir froid qui sentait le vieux bois. Le plafond était tellement haut et la porte si grande que chaque fois que celle-ci s’ouvrait, le bruit de grincement raisonnait dans tout le bâtiment. Une porte plus petite s’ouvrit alors devant eux et un homme habillé en noir les appela pour entrer dans la salle…

    [2heure plus tôt.]

    La cloche sonne, les élèves montent en classe. Le professeur n’est pas encore là alors les étudiant en profitent pour parler, sauter et chanter. Akiko s’asseyait sur une table près de la fenêtre avec Subaru, regardant les autres faires les pitres.

    Nao : Il fait gris ce matin. J’espère que le temps va s’éclaircir…

    Suzuki : On arrive en été, ce serai bête que les nuages s’emparent du ciel à cette période là.

    Nagisa : Oui, je veux aller à la piscine moi ! Et puis le mauvais temps avec en hiver qu’il faut l’avoir !

    Akiko : C’est peu dire, le mauvais temps en hiver d’accord mais la neige c’est mieux et… Ca fait quand même quelques années qu’il n’y à plus de neige pour noël…

    Subaru : C’est vrai… Mais je croyais que tu n’aimais pas l’hiver donc…

    Akiko : C’est vrai, et je n’aime pas le froid mais quand je suis chez moi avec les bougies la nuit et que je regarde dehors, j’aime voir l’étendue de neige qui n’a pas encore été souillé pas des traces de pas ! Mais je ne sortirai pas pour autant !

    Ichiko : *ris* Onee-chan tu es bizarre ! Dîtes, vous avez mangé ce matin ?

    Tous : Hai !

    Ichiko : Bien car les entraînements commencent à midi et nous n’auront pas le temps de manger.

    Mikuru : Je peux venir vous regarder ?

    Akiko : Bien sûr ! Tu pourras même t’entraînée avec nous ! *ris*

    Kota : Regardez !

    Il s se tournèrent tous vers Kota qui avait le nez collé à la fenêtre. Dehors, ils voyaient Shizumasa avec deux inconnus qui parlaient à l’entré de la coure.

    Nao : Qui est-ce…?

    Suzuki : Bonne question…

    Ichiko : Regardez, c’est le professeur ! Il part les voir…

    Mikuru : Eh ! Attendez, ou sont-ils passés ?! Je ne les vois plus !

    Nagisa : Moi non plus !

    #Toc Toc#

    Le professeur entra dans la classe suivis de deux policiers et de Shizumasa. Il appela les enfants et les prient à part dans le couloir. Il leur expliqua que le procès allait se dérouler bien plus tôt (c’est-à-dire aujourd’hui) car quelqu’un avait porté  une plainte de plus contre Subaru. Ils étaient tous choqués à cette annonce mais ils n’avaient pas le temps de rêvasser ; il fallait partir. Ils arrivèrent devant un grand bâtiment de couleur bruns bois osé, ils entrèrent et quelqu’un les accompagna dans le couloir ou ils s’asseyaient. […] Une porte plus petite s’ouvrit alors devant eux et un homme habillé en noir les appela pour entrer dans la salle… Ils y avaient les parents, les policier, le maître etc…

    Juré : Bien, nous allons pouvoir commencer. Yurie Subaru, veuillez vous lever s’il vous plaît. Vous êtes accusé d’agression sexuel, de viole, sur mademoiselle Hinagawasa Akiko. Ce matin, nous avons eut une plainte de plus pour agression, coups et blessures par mademoiselle Nakajima Yumi.

    La bande : YUMI ?

    Yumi : Excusez-moi les amis…

    Juré : Je demande Hinagawasa Akiko à la barre.

    Akiko avança et se plaça derrière la barre, complètement stressée.

    Juré : Veuillez nous raconter ce qu’il s’et passé ce fameux soir.

    Akiko : *Hum* Nous étions en sortie scolaire dans la montagne. La journée c’était bien passé et Subaru n’avait fait aucun geste déplacé ni dit quelque chose de dérangeant. Le soir je discutais avec mes amies dans le salon de tout et rien et vu qu’il commençait à ce faire tard nous avions décidé de nous mettre en pyjama. Alors nous étions montées à l’étage et elles étaient parties dans la salle de bain côté filles pendant que je fouillais dans mon sac pour trouver ma chemise de nuit. J’étais seule dans la chambre alors je fermais la porte pour enfiler ma chemise de nuit. Une fois fait, je m’apprêtais à les rejoindre dans le salon mais quelqu’un toqua à la porte alors je suis allée ouvrir et c’était Subaru. On resta tous les deux dans la chambre la porte ouverte et… il m’embrassait mais…nous ne contions rien faire et alors que j’étais couché et que lui était avait son visage au dessus du mien et que nous parlions eh bien…je ne sais pas ce qu’il s’est passé après, je sais juste que ce n’était pas sa faute.

    Juré : Hm…Pourtant vois avez porté plainte contre ce jeune homme je me trompe ?

    Akiko : Oui c’est vrai mais… *baisse la tête*

    Avocat d’Akiko : Votre Honneur ! J’accuse monsieur Yurie Subaru d’avoir influencé ma cliente avant l’audience !

    Juré : *soupire* Ne portons pas de jugement attife, voulez-vous ? J’appel l’accusé ; Yurie, à la barre.

    Subaru se leva et se rendit à la barre ne savant pas trop ce qu’il était sensé dire, il était en mauvaise posture, s’il disait la moindre chose de travers il risquerai de se dévalorisé.

    Subaru : J’étais avec Kota, Shizumasa et Ichiko dans notre chambre et on rigolait en jouant avec nos consoles portables… Et puis il se faisait tard et les surveillants dormaient donc j’en ai profité vu que quand ils sont là nous n’avons pas le droit d’aller chez les filles et inversement. Donc je suis allé voir ma chérie mais… après… il y a eut cette histoire. Quand elle a hurlée j’ai couru hors de la chambre par reflex quand tout le monde me regardait et je suis sorti dehors, paniqué, pour me calmer et me rafraîchir les idées…

    Avocat d’Akiko : Abjection !

    Juré : Objection refusée. Avez-vous des preuves de ce que vous avancez ?

    Subaru : Eh bien…

    Shizumasa : *se lève* Oui, moi monsieur !  Avec toute cette agitation je suis sortie un peu dehors par envie et j’y est vu Yurie-san. *se rassois*

    Juré : Bien, bien… Mademoiselle Kishigu Suzuki s’il vous plaît, donnez-nous votre avis.

    Suzuki : *se met à la barre* En fait… Je n’ai pas vu grand-chose… Nous étions encore toutes ensembles dans la chambre. J’avais pris mon pyjama et les autres m’ont suivi dans la salle de bain des filles pour vous changer. On était partie sans attendre Akiko car elle nous avait dit qu’elle ne le trouvait pas et qu’une fois qu’elle l’aurai trouvé elle se serai changer dans la chambre. Enfin bref, après nous sommes descendu au salon pour parler de tout et de rien puis au bout d’une dizaine de minutes on entendait le cri d’Akiko qui à d’ailleurs secoué tout le monde car à notre arrivé en haut nous avons vu Subaru sortir en courant et le proviseur ainsi que d’autres élèves devant la porte. C’est tout ce que je sais… Mais je voudrais ajouter quelque chose ! La fenêtre était ouverte. Le vent aurait très bien pu soulever sa robe de chambre au mauvais moment…

    Juré : *hoche la tête* Je vois…Quelqu’un d’autre voudrai s’exprimer ?

    A ce moment là, Yumi arriva sur le côté, dégagea Suzuki et se mit à sa place avec un sourire mesquin. Elle prit une grande respiration en effaçant son sourire. Elle avait un bras dans le plâtre.

    Yumi : *hum hum* Après cet incident, j’ai vu Yurie-san sortir et Shizumasa, lui, rentré. Donc par gentillesse je suis sortie et me suis présenté en face de lui pour lui remonter le moral. J’étais très calme et lui aussi, je lui disais que to irai bien et qu’il pouvait avoir confiance. Il ma sourit puis s’est levé…Malheureusement ma curiosité m’a rattrapée et je lui ai demandé de me dire tout ce qu’il s’est passé. Là, il a totalement changé de visage, il s’est énervé, ma pris le bras et me la complètement retourner, si bien qu’il me l’a cassé. Il criait que moi non plus je ne n’avais pas confiance en lui et que si je racontais quoi que ce soit il se vengerait. J’ai fini…

    Subaru : Quoi ?! Mais c’est complètement faux !!!

    Juré : Silence !!!

    Il y avait des murmures dans toutes la salle, certains critiquait Yumi d’autre disait que « ce jeune garçon est violent, il faut l’interner ! ». Les juges aussi parlaient entre eux… Mais d’un coup Ichiko se leva furax.

    Ichiko : C’est vrai, je ‘aime pas Subaru et se n’est un secret pour personne !!! Mais je n’irai pas jusqu’à faire ce que tu fais Yumi ! Raconter de tels mensonges, tu devrais avoir honte !!!

    Yumi : De quoi est-ce que tu parle petit ?!

    Ichiko : « Petit » ?!?! Peu-Peu importe ! Ca suffit tes conneries !!! Tu dis prétend avoir le bras cassé mais au moment ou tu étais censé être avec Subaru, comme tu l’a si bien dis, tu te trouvais dans le salon et tu parlais avec les autres filles de la classe !!! TU T’ENFFONCES TOUTES SEULE PAUVRE CONNE !!!

    Avocat de Yumi : COMMENT OSEZ-VOUS INSULTEZ MA CLIENTE DE CETTE FACON !!!

    Juré : TAISEZ-VOUS.

    Yumi : Tu…Tu te trompes !

    Ichiko : De plus, au moment de repartir, personne de ta vue avec un plâtre, d’ailleurs tu rigolais et tu agitais tes deux bras dans tous les sens tellement tu étais surexcitée !

    Il se leva et se plaça face à Yumi.

    Ichiko En d’autre termes, TU SIMULE !!! *lui arrache le plâtre*

    Bien évidemment, le bras de Yumi allait parfaitement bien. Le juré avait d’ailleurs vérifié personnellement que son bras se portait correctement.  De plus, le professeur et les autres du groupe confirmèrent tous me fait qu’elle allait bien au moment de partir et qu’elle s’était trouvé dans le salon… Tous étaient perplexes, ne sachant ni quoi faire ni quoi penser… « L’audience est terminée et reprendra ans deux jours ! » Annonça le juré… Les enfants rentrèrent tous chez eux, de toutes façon tous les parents qui se trouvaient au tribunal avait fortement interdits aux enfants de se voir.

    [Commissariat.]

    Dans un bureau au fond du commissariat, se trouvait le bureau du père de Kota. Il discutait avec la mère Chõjo, elle avait pour habitude d’être infirmière mais aussi de supervisée les enquête avec l’agent Amadeshi.

    Policier : Je ne sais pas quoi penser de cette histoire…C’est beaucoup trop compliqué avec tous ses problème, de plus c’est l’un des meilleurs amis de nos gamins…

    Infirmière : En effet, ce n’est pas simple. Surtout avec le faux témoignage de Nakajima-san. J’ai quand même quelques doutes sur ce jeune homme…

    Policier, Si je me rappel bien, ta fille est amoureuse de lui n’est-ce pas ? Tu devrais veiller sur elle…

    Infirmière : Oui, j’y compte bien !

    Policier : *ferme son bureau* Bon aller, à dans deux jours !

    Les deux jours passèrent plutôt rapidement. C’était le grand jour, le jour de la sentence. Les enfants étaient tous assis tout stressés et inquiets de la réponse des jurés… L’audience avait commencé depuis déjà deux heures, le stresse montait de plus en plus puis d’un coup le nom de Yumi retentissait dans la salle comme un écho. Le « maître » se leva et commença à réciter une sorte de lois numéro [?].

    Maître : […] Et pour cela nous condamnons Nakajima Yumi à 1 mois de travaux publics.

    Yuka : Eh bien Yumi tu t’en sors plutôt bien ! *air contrariée*

    Yumi : Gõmenasai onee-san…

    Maître : Maintenant les juge vont discuter et nous donner leur réponse…

    Akiko : SUBARU !!!

    Mère d’Akiko : AKIKO. Il est hors de question que tu l’approche. Ne bouge pas.

    Akiko : Mais maman, ce n’est pas ce que tu-

    Père : Ca suffit Akiko, écoute ta mère ! Restes tranquille c’est compris ?!

    Akiko : Hai…

    Kanade : e t’en fais, nous sommes là Subaru, il ne va rien t’arriver…

    Subaru : Et s’ils me jugent coupables ?! Je ne veux pas finir ma vie en prison !

    Kanade : Mais non ne dis pas ! Ca n’arrivera pas car… Tu n’as rien fais n’est-ce pas ?

    Subaru : Bien sûr que non ! Je n’aurai jamais pu faire une telle chose…

    Mère : Alors arrête de t’inquiéter ! *sourit*

    Maître : Nos juges ont délibérés ! *se racle la gorge* Je déclare Yurie Subaru…

    La tension était montée rien qu’à ces paroles…

    Maître : …Non coupable !!!

    Un grand soufflement de soulagement était émit par la plupart des personnes dans le tribunal… Subaru avait été innocenté et toute cette histoire allait bien se terminer, mis à part quelques soucis pour Yumi !

    Cette nuit là chez Yumi, elle était dans sa chambre et préparait son lit…Elle entendait de petits bruits derrière elle…

    Yumi : Qui…Qui est là ?! *entend des bruit de pas derrière elle et se retourne* Ca…ça suffit ! Kota ce n’est pas drôle !!! Montre-toi ! Je n’ai pas peur ! *rit*…Il…il n’y a plus rien… ? Haha…ha…je dois être fatiguée, je ferai mieux d’aller me coucher…

    Yumi se glissa dans son lit …La nuit était très noir et le reflet de la lune avait du mal à percer dans le volet entre-ouvert… Elle était bien au chaud, sentant le sommeil venir et ferma les yeux…Mais  il ne s’écoula pas 5 seconde avant qu’elle entende un crie atroce lui déchirant presque les tympans. Elle courut dans le salon et dans toute la maison, vérifiant toutes les pièces et les chambres. Mais tout le monde dormait paisiblement… soudain une ombre passa derrière elle…Prise de panique elle monta dans sa chambre, s’enferma à double tour et farda une lampe de poche en restant de le coin de la chambre…

                                       […]

     


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  •  Chapitre 24   [FIN]

    09 Juillet 2014.

    Le groupe couru le plus vite possible en haut, tous les passagers étaient là, se marchant les uns sur les autres en attendant les canots. Le capitaine arrivait après tout le monde pour gérer la mise à l’eau quand un des gérants l’interpela. Il expliqua que la corde qui soutenait les canots avait été coupée et qu’il n’y avait plus aucun échappatoire. Sur ces paroles toutes les personnes présentes sur le bateau se mirent à paniquées, et encore une fois une explosion vint faire tanguer le bateau ! Certaines personnes, prisent de panique, se jetèrent à l’eau, la moitié ayant mal sauté ; mourût dans l’impact trop violent. Les enfants regardait les gens se « suicider » et le bateau sombrer en s’accrochant à la rampe, ils priaient pour s’en sortir vivants. Dans un mouvement très brusque toutes les personnes encore à bord tombèrent dans la flotte…

    Mon nom est Akiko Yamasee. Ou devrais-je dire mon VRAI nom. Cela fait des années que je pense être folle, pourvut d’une malédiction plus tenace que la lèpre. Des années…que je vois mes mains salies par le sang des personnes que je tue, mais qui aurait cru qu’un jour tout s’arrêterai… Me voilà… En train de tomber face à l’eau à 10 mètres de hauteur. Je n’eue qu’une seconde pour jeter un œil à droite et à gauche pour voir le visage de mes amis une dernière fois, j’avais l’impression d’être la seule à paniquée, leur visage n’était pas effrayer, les garçons en rigolait presque, mais pourquoi ? Quand y avaient-ils prient goût et pourquoi les deux baltringue d’humains ne ressentait pas la mort qui leur pendait au nez ? Je ne comprenais pas grand-chose et je n’avais plus le temps de réfléchir, mon corps entra dans l’eau si brutalement que mes membres me brûlèrent. L’eau était fraîche et m’entourait complètement. Autour de moi, les simples gens qui se trouvaient sur le bateau avec nous se mirent à nager pour leur vie, secouant l’eau de partout et formant de bulles, je n’y voyais plus rien.

     J’heurtais de temps à autre un corps déjà s’en vie qui descendait vers le fond pour s’y laisser pourrir…Je ne voulais pas finir comme eux, je voulais bouger et remonter à la surface mais je n’y arrivais plus,  comme si j’avais oublié comment nager ! Je me prenais des coups en tout genre, toute cette panique que je pouvais ressentir, je pensais cela impossible, je ne peux pas mourir… Lorsque le remue-ménage se calma, j’étais déjà bien enfoncé sous l’eau, je pouvais voir mes amis s’entraidés, s’accrocher à ce qu’il pouvait, je les voyais tous, ils étaient sauver. Mon frère remontait et replongeais en me tendant la main pour que je l’attrape mais c’était trop tard… Ma vue se brouilla, tout était flou  partout où je regardais… dans les derniers instants, je sentis mes poumons souffrir du manque d’air. Mon regard se fixa sur la surface, je regardais  les rayons du soleil et le ciel à travers l’eau, tout était si loin à présent. Une douleur atroce traversa ma poitrine puis mes yeux se fermèrent doucement…La mort m’avait emportée.

    …Après un grand trou noir, je sentis…mon cœur battre, tellement fort que j’ai cru qu’il allait sortir de ma poitrine ; ma respiration repris doucement de sa force naturel…J’ouvris d’un coup, très grand les yeux mais referma de moitié mes paupières quand le soleil et les couleurs vive m’arrivèrent dans les pupilles. Un masque pour respirer était sur mon visage, j’avais une perfusion sur le poignet droit et des machines bipaient au dessus de ma tête et de côté. Je me sentais si fatiguée…Quelle était cette pièce, ne m’étais-je pas noyée ?! Deux personnes se tenaient près de mon lit, une fille blonde aux longs cheveux attachés en tresses et aux yeux vert et un jeune garçon, lui aussi blond, aux yeux bleus. La dame était assise et regardait vers le bas. Le garçon était debout, lorsque nos regards se croisèrent il montra d’abord un air choqué puis secoua légèrement l’épaule de cette personne. Elle me regarda… Leur visage était si souriant, je n’y comprenais rien. « Va vite chercher le médecin ! » lança-t-elle. Il couru en dehors de la pièce.

    Une vingtaine de minutes plus tard, trois hommes rentrèrent dans ma chambre et une infirmière. Le blond de tout à l’heure et deux grands hommes, l’un d’entre eux était sûrement le médecin. Je me sentais bien plus réveillée que tout à l’heure et tout me paraissait se passer beaucoup plus vite. Le vieux à la blouse blanche m’enleva le casque du visage.

    Médecin : Comment t’appels –tu ?

    Akiko : Je… *tousse* …Je suis Hinagawasa Akiko.

    Il me regarda avec un air un peu désoler.

    Médecin : Pas exactement. Mais ce n’est rien, tu es fatigué et faible c’est tout à fait normal que tu te trompe. L’infirmière va te poser quelques questions pour s’assurer que tu sois bien parmi nous, en attendant moi je vais t’enlever tous ces tuyaux qui t’embêtes !

    Akiko : D’accord…

    Infirmière : Enfin réveillée ?

    Elle ria sur ses mots et pris un stylo et un carnet.

    Infirmière : Peux-tu  me dire ton âge, en quelle années sommes nous et ton sexe ?

    Akiko : J’ai …

    Je me stoppai net en voyant sur le plateau roulant des jouets, des boîtes à musiques et des doudous. Puis, plus je voyais les objets défiler, plus on voyait les années les traverser. Le dernier présent était une robe en dentelle posé sur le bord de mon lit.

    Akiko : Je ne sais pas trop… Sexe féminin...

    Infirmière : *sourit* D’accord. Tu as 15 ans, nous sommes en 2015. Tu reconnais ta maman ?

    Akiko : Qui est…Maman… ?

    Je me tournai vers elle, ses longs cheveux, ce regard…CE visage. Je l’ai reconnue après quelques secondes d’observation, elle était tellement différente que dans mes souvenirs. Les larmes coulaient sur mes joues sans que je puisse les retenir. Une fois libérer de tous les tuyaux je fondai en larmes dans ses bras. Elle pleurait aussi mais souriait et me caressai la tête.

    Mère : Ma petite fille… Si tu savais que tu m’as manquée.

    Akiko : Ma-Maman…Maman…Pourquoi tu es partie si longtemps ?! Je t’ai cherchée pendant des années…

    Mère : Hm ? Mais qu’est-ce que tu racontes ? Je ne suis jamais partie, je suis toujours restée près de ton lit. *sourit*

    ??? : Onee-chan ! Bon retour parmi nous !

    Akiko : I-ICHIKO !

    Ichiko : Ça fait longtemps !

    Mais qu’est-ce qu’ils racontent ?! …Avant même que je puisse y réfléchir je reconnu mon père sur le côté gauche de la pièce, qui parlait avec le médecin… Je devais sûrement rêver…J’entendis quelqu’un toquer. La porte s’ouvrit et je vu mes trois autres frères courir vers moi. Ils étaient si grands, combien de temps ne les avais-je pas vu ? Le médecin s’avança jusque devant mon lit en souriant.

    Médecin : Tu dois être un peu perdue n’est-ce pas ?

    Akiko : Je ne comprends plus rien…

    Médecin : Tes parents vont t’expliquer la situation, moi je reviendrai demain matin pour te dire si tu peux sortir ou pas. Nous préférons te garder pour l’instant ! Bon eh bien, je vous souhaite bonne soirée et bienvenu parmi nous Yamasee-san.

    Je me tournai vers mes parents et mes frères, ils étaient tous bien vivant. Ma mère me prit la main et mon père m’embrassa sur le front. Mes frères s’essayèrent avec moi car appart le plus vieux d’entre nous, personne ne savais vraiment ce qu’il s’était passé.

    Ma mère : C’était un après midi, votre père ne travaillait pas et il n’y avait pas école alors nous avions tous décider d’aller au lac de vos grand parents… J’étais assise sur la couverture et je m’étais rendue compte que j’avais oublié les gâteaux chez  grand-maman mais vu que votre père se baignait avec Kanta et Kenjiro et que Ichiko n’était qu’un bébé, je t’ai demandée à toi et Jin d’y aller. Mais ce fut la plus grosse erreur de ma vie.

    Jin : Pour se rendre à leur maison il fallait traverser la forêt puis un champ et enfin un sentier. Grand-père et Grand-mère habitait dans la campagne, donc je t’ai laissé courir toute seule à travers les récoltes. Ce que j’avais oublié c’est que même dans les coins les plus tranquilles, une route reste une route…Quand j’ai réalisé que la voiture allait te renverser il était trop tard, j’ai couru mais quand je suis arrivé, tu étais déjà allongée au sol…

    Père : Grand-père à appeler l’ambulance et quand nous sommes arrivé à l’hôpital, ils nous ont dit que seul le temps pourra t’aider…

    Akiko : …J’avais quel âge ?

    Mère : Lorsque tu as eue ton accident tu avais 4 ans.

    Akiko : Quoi ?! Tu veux dire que je suis restée-

    Mère : Oui. 10 ans dans le coma. 10 ans que nous venions tous les jours et espérions que ce jour arrive...Enfin, Dieux existe !

    Après ça, ma famille s’en alla. Le lendemain matin, je prenais mon petits déjeuné en jouant avec les cadeaux des mes parents dont je n’avais pas put profiter étant plus jeune. Curieuse, je me levai et me rendais à la fenêtre ; Tout était blanc dehors. Un paysage d’hiver si beau, cela faisait longtemps que je n’avais plus vu la neige. Sur le calendrier nous étions le 6 Janvier. Et dire que tout ce qui avait été mon enfance durant ses dix dernières années n’avait en faite jamais existé. A ce moment là, ils me revinrent en tête. Quand était-il de toutes ces personnes que j’avais rencontrées ? Suzuki, Nao, Shizumasa, Kota, Nagisa, Subaru, Yumi, Mikuru… Etaient-ils réels ou juste imaginaire…J’allai vers on lit, pris mon portable et  retourna à la fenêtre pour prendre deux ou trois photo du paysage. Quelqu’un entra dans ma chambre juste après que j’eue fini. C’était ma mère et le médecin pour m’annoncer que je sortais cette après-midi, j’étais vraiment heureuse et triste à la fois… Le médecin s’en alla et ma mère m’aida à m’habiller, je lui avais demandée, malgré le temps, si je pouvais mettre la robe bien évidemment après tout ce temps sans me voir elle n’a pas pu refuser.

     

    Nous allions partir, maman préparait ma valise et refaisait le lit, quand à moi je suis retourné près de la vitre, maintenant il neigeait,  étrangement j’aurai voulu rester encore un peu. Je repris une dernière photo. En la visionnant je les vus, tous les 8, les pieds dans la neige qui me faisaient signe. Je me précipitai d’ouvrir la fenêtre mais …il n’y avait personne.

    Mère : Akiko, nous partons !

    Je rejoignais ma mère en souriant, car à ce même moment là …Je compris qu’ils existeront toujours dans mon cœur…

                             ~ Ending ~


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